Lesregistres paroissiaux et d'état civil numérisés par les Archives départementales de la Seine-Saint-Denis sont disponibles sur notre portail. Les tables décennales et actes numérisés sont accessibles en ligne, jusqu'en 1918 pour les naissances et jusqu'en 1922 pour les mariages et décès. Pour plus d'informations sur la collection
Si vous ne parvenez pas à modifier le wiki après avoir ouvert votre session, vous devrez en demander les droits d'édition en utilisant ce formulaire. Vous serez averti lorsque les droits d'édition seront accordés. De FamilySearch Wiki Redirigé depuis Seine-Saint-Denis Aller à la navigation Aller à la recherche Histoire[modifier modifier le wikicode] Le département de la Seine-Saint-Denis est un département français situé au nord-est de Paris, appartenant à la petite couronne de la région Île-de-France et créé le 1er janvier 1968. Histoire de la Seine-Saint-Denis Communes[modifier modifier le wikicode] Liste des communes de la Seine-Saint-Denis Liste des anciennes communes de la Seine-Saint-Denis Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui geoportail permet une comparaison par superposition des cartes modernes et des cartes anciennes Liste Alphabétique de 180 communes des anciens départements de la Seine, Seine-et-Oise et Seine-et-Marne Registres paroissiaux et d'état civil[modifier modifier le wikicode] La grande majorité de vos recherches se feront dans les registres d'églises et d'état civil, Depuis les années 2000, les départements et certaines communes ont entamé la numérisation de leurs archives, notamment les registres paroissiaux et d'état-civil, et les tables décennales TD. Toutes ne sont pas encore diffusées sur Internet, et certaines ne concernent que le cadastre ou d'autres documents. Il n'existe aucune règle en la matière puisque les seules décisions de diffusion et d'éventuel paiement de l'accès dépendent du Conseil Général du département. Toutefois, l'État français a en général la volonté de faciliter l'accès au public des documents administratifs et particulièrement de promouvoir l'utilisation d'Internet dans ce but. Pour savoir quelles archives départementales sont en ligne Geneawiki, archives départementales en ligne Seine-Saint-Denis, n° 93 Pour ce département, vous trouverez Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis Archives municipales d'Aubervilliers Archives municipales de Saint-Denis Ressources[modifier modifier le wikicode] Memorhom Tout -en-Un Seine-Saint-Denis GenWeb Genea-Bricolo Cousins 93 Associations généalogiques[modifier modifier le wikicode] Geneawiki - Associations généalogiques en France Cercle de Généalogie et d'Histoire de la Seine-Saint-Denis Cercle d’Études Généalogiques et Héraldiques de l'Ile-de-France Sites web[modifier modifier le wikicode] État civil de Bobigny Geneanet Relevés Seine St Denis Centres d'Histoire Familiale[modifier modifier le wikicode] Introduction aux Centres d'Histoire Familiale Centre d'Histoire Familiale de Melun Centre d'Histoire Familiale de Torcy Centre d'Histoire Familiale de Paris Centre d'Histoire Familiale de Nogent Centre d'Histoire Familiale de Cergy-Pontoise Centre d'Histoire Familiale d'Aulnay
EmploisEn Ligne Seine - Saint-Denis ️ plus de 1000 offres d'emploi emplois disponibles. Besoin d'urgence. Rechercher des offres dans la région. Nous avons plus de 500 000 offres d'emploi en cours La grande chancellerie de la Légion d’honneur produit et conserve de nombreuses archives. Biographies de plus de deux millions de décorés, dossiers d’élèves des maisons d’éducation, documents historiques sur les décorations et les bâtiments de la Légion d’honneur ces éléments constituent un patrimoine d’une grande richesse. Décorés et décorations Les dossiers de décorés couvrent une période de plus de 200 ans, de la création de la Légion d’honneur en 1802 à nos jours. Les biographies de 900 000 membres de la Légion d’honneur, un million de titulaires de la Médaille militaire et de 330 000 membres de l’ordre national du Mérite sont ainsi répertoriées. Ces dossiers sont d’une grande valeur pour les historiens et les sociologues, ainsi que pour toute personne s’intéressant à sa généalogie. La grande chancellerie dispose aussi de documents précieux sur la création et les évolutions de chacune des distinctions qu’elle gère. Illustration Annales nécrologiques de la Légion d’honneur Maisons d’éducation de la Légion d’honneur Les 60 000 dossiers d’élèves et ceux du personnel sont autant de témoins de la vie quotidienne dans les maisons d’éducation depuis leur création en 1805. Des documents sur la création de ces écoles par Napoléon Ier et les règlements successifs permettent aussi d’en comprendre l’évolution à travers les époques. Illustration Lettre de Napoléon au grand chancelier Lacépède sur les maisons d’éducation, 1807 Musée Le musée conserve un important fonds d’archives historiques sur les ordres français, de l’Ancien Régime à nos jours. Des éléments sur sa genèse et les dons et legs qui ont enrichi ses collections retracent son histoire depuis son ouverture en 1925. Illustration Manuscrit du chant des partisans, 1943 Bâtiments Hôtel de Salm, château d’Ecouen, ancienne abbaye royale de Saint-Denis, ancien couvent des Loges à Saint-Germain-en-Laye les prestigieux bâtiments de la Légion d’honneur ont fait l’objet de nombreux aménagements et restaurations consignés à chaque époque. Une histoire de ces lieux et des pratiques architecturales se dégage des documents conservés. Illustration Titre de propriété du palais de la Légion d’honneur, 1804 Accessibilité Les archives de la grande chancellerie font l'objet d'un projet de sauvegarde et de valorisation en cours de réalisation. Elles ne sont à ce jour que partiellement accessibles archives des décorés de la Légion d'honneur, de la Médaille militaire ou de l'ordre national du Mérite archives sur l'histoire des décorations françaises, d'Ancien Régime, des XIXe et XXe siècles Découvrezgratuitement l'arbre généalogique de Albert LENGLET pour tout savoir sur ses origines et son histoire familiale.
Publié le 9 avr. 2016 à 1309Ne lui parlez pas d’ économie souterraine », vous risqueriez de l’agacer. Pour Sébastien Piffeteau, le vice-procureur du tribunal de Bobigny, le trafic de drogue en Seine-Saint-Denis n’a plus rien d’ informel » ni de caché », ni de quoi que ce soit de souterrain » comme il l’entend trop souvent. Voilà des mots qui, certes, claquent aux oreilles comme des coups de fusil et vous attirent aussi sec l’attention du public. Les termes n’ont pourtant plus rien à voir avec la réalité que le magistrat, qui dirige la division des affaires criminelles et de la lutte contre la délinquance organisée Dacrido, observe tous les jours dans le 9-3 ».Son bureau occupe une vaste pièce toute moquettée de gris dans les étages du palais de justice. Des dossiers attendent un peu partout. Assis à sa table, le vice-procureur en sourirait presque de ces formules toutes faites de journaliste La drogue est devenue un secteur d’activité à part entière dans le département. Sans l’argent du trafic, certains quartiers ne pourraient pas vivre », certaines cités du département le plus pauvre de France, la drogue paie les loyers, les courses au supermarché et les factures d’électricité… Certains pousseront des cris d’orfraie. C’est pourtant la réalité d’un territoire où le chômage dépasse les 40 % chez les jeunes de moins de 24 ans, selon le rapport 2014 de l’Observatoire national des zones urbaines sensibles Onzus.Sébastien Piffeteau et ses collègues de la Dacrido estiment à 1 milliard d’euros le chiffre d’affaires annuel de la drogue dans le 9-3 ». Un chiffre très largement généré par la résine et l’herbe de cannabis, et dans une moindre mesure par la cocaïne, l’héroïne et le crack. Le montant équivaut à la moitié du budget du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis en 2015 2,3 milliards d’euros, deux fois le total du RSA 446 millions d’euros versé aux familles les plus en difficulté de la collectivité. La plupart des jeunes gens que nous jugeons ne voient pas où est le problème de vendre de la drogue. C’est assez sidérant. Ils sont nombreux à dire que c’est le seul débouché économique », constate Nicolas Blot, l’un des deux magistrats à présider la 13e chambre correctionnelle du tribunal de Bobigny, la chambre spécialisée dans les affaires de ancien vendeur de shit de Bondy, rencontré autour d’un thé à la menthe à l’automne 2015, explique la fatalité du deal dans le département Dans nos quartiers, on peut s’en sortir de trois façons l’école, le foot ou le deal… Mais, bon, on n’est pas tous Einstein ou Zidane… » Economie de subsistance »De fait, le cannabis est devenu, en Seine-Saint-Denis, une réalité économique aussi vitale que mortifère. Car si on ne meurt pas d’overdose de shit, beaucoup de morts violentes, souvent par arme à feu, sont liées au contrôle du la mairie de Sevran, il y en a un qui alerte depuis des années sur l’immixtion de l’argent du cannabis dans l’économie réelle. Stéphane Gatignon, quarante-six ans, est maire de la ville, depuis 2001. La commune a quadruplé sa population en quarante ans pour atteindre habitants aujourd’hui. A la fin des années 2000, la ville est devenue l’une des plus importantes plaques tournantes de la drogue en Ile-de-France. Les quartiers des Beaudottes et de Rougemont étaient connus dans toute la région par la qualité de leur un livre coup de poing publié en 2011, Pour en finir avec les dealers » Grasset, l’édile a mis en garde contre les dérives de cette économie de subsistance » dont l’un des signes les plus visibles serait la multiplication des paiements en argent liquide. A l’époque, dans le centre commercial de la ville, Beau Sevran, beaucoup de magasins faisaient de gros chiffres d’affaires en liquide ». En France, les paiements en espèces représentent 55 % de l’ensemble des transactions, selon un rapport du Trésor public de 2012. A Sevran, la part des sommes payées en cash était bien plus importante », estime le en liquideCertains bailleurs sociaux fermeraient les yeux sur la provenance de l’argent des loyers. Dans son livre, Stéphane Gatignon s’étonne de la légèreté » avec laquelle certains d’entre eux acceptent des sommes de l’ordre de euros en liquide pour “retard de loyer” en sachant pertinemment d’où vient cet argent… » D’autant que la loi française, à l’époque, interdit les versements en liquide de plus de euros. Depuis le 1er septembre 2015, ce plafond est passé à l’intervention répétée des forces de police à Sevran au début des années 2010, le gros du commerce de drogue s’est déporté dans les communes et les départements voisins. Sans rien changer au fond du problème. A Sevran, l’intensité du deal est aujourd’hui à 35 % de ce qu’il était à l’époque », estime Stéphane le mur de son bureau, Sébastien Piffeteau, le vice-procureur, a punaisé une grande carte de la Seine-Saint-Denis. Depuis longtemps, les points de vente sont identifiés. Le magistrat fait glisser son index sur la ligne figurant le boulevard périphérique parisien, limite physique entre la capitale et la petite couronne Les principaux points de vente de cannabis sont aux portes de Paris et près des stations de RER. » Il y a les cités Soubise et Emile-Cordon dans le vieux Saint-Ouen le VSO, le quartier Zola-Arago plus au sud de la commune ; le quartier de la Capsulerie à Bagnolet ; la cité des à La Courneuve ; La Noue à Montreuil ; les Beaudottes à Sevran ; les Mille-Mille à Aulnay-sous-Bois… La cité du Clos Saint-Lazare, à Stains, est connue de longue date pour commercialiser l’héroïne. La ville de Saint-Denis et la cité Gabriel-Péri, elles, sont confrontées à la vente de crack depuis quelques la Dacrido, les points les plus dynamiques enregistrent jusqu’à 700 transactions par jour pour un chiffre d’affaires pouvant atteindre euros. Un bon four » – un point de vente dans le jargon des vendeurs –, tourne à euros par jour de chiffre d’affaires et emploie une vingtaine de personnes. Une fois les salaires versés aux petites mains et la marchandise remboursée le prix du kilo de résine de cannabis tourne autour de euros, selon l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies [OFDT], le gérant » du point dégagerait euros de bénéfice guetteur, celui qui prévient de l’arrivée de la police, touche de 50 à 60 euros la journée. Un vendeur, celui qui effectue la transaction, gagnera entre 80 et 100 euros. Même salaire pour le réapprovisionneur chargé d’alimenter le point de vente en produits. Pour tous ces postes, le salaire est fixe et connu dès le début de la journée de travail. Avec souvent, le kebab du midi offert », précise le chef de la Dacrido, comme un équivalent aux tickets repas de l’économie légale. Le gérant », le responsable d’un point de vente, engrange, lui, au minimum, plusieurs centaines d’euros, son salaire dépendant du produit des ventes de la dans l’économie légale, le business » a ses métiers en tension. Les gérants ont du mal à recruter des vendeurs car ils sont très exposés en cas d’arrivée de la police », explique Corinne Goetzmann, la seconde magistrate à présider la 13e chambre correctionnelle. A l’inverse, les postes de guetteur, souvent occupés par des mineurs, servent de premières expériences dans le business ». Des stages » pour se faire la main en quelque sorte. Nathalie Barbier, ancienne bâtonnière et avocate depuis 1989 au barreau de Bobigny, a observé l’évolution du trafic en vingt-cinq ans La population jugée pour stupéfiants a beaucoup rajeuni. Au début des années 1990, les prévenus avaient 35-40 ans, maintenant ils ont tout juste 18 ans. »Dans les cités Soubise et Emile-Cordon, à Saint-Ouen, on voit de jeunes garçons sans emploi venir du Val-de-Marne et du Val-d’Oise proposer leurs services pour officier comme guetteurs à la et promotionsLes trafiquants pratiquent aussi les offres commerciales comme n’importe quel autre secteur d’activité Ils vont faire –30 % sur la cocaïne ou proposer deux barrettes de shit pour le prix d’une », détaille Stéphane Gatignon, le maire de Sevran. Du fait d’un marché du cannabis aujourd’hui très concurrentiel, beaucoup de réseaux ont travaillé la qualité du produit vendu. Le taux de THC ce qui provoque les effets psychoactifs n’a cessé d’augmenter, passant de 8 % au milieu des années 2000 à plus de 20 % aujourd’hui, notamment grâce à une production d’herbe génétiquement modifiée produite sous serre aux Pays-Bas, dont la plus connue est appelée marché doit aussi faire face aux contractions de l’économie officielle. Après la crise de 2008, une partie des clients appartenant aux classes moyennes » se sont paupérisés », comme le note l’OFDT dans son rapport 2015 pour s’adapter, les dealers ont mis à disposition des doses de plus en plus fractionnées, quel que soit le produit, pour être vendues à des prix plus accessibles ». L’embauche s’en est aussi ressentie. Les salaires des petits trafiquants ont baissé après la crise des “subprimes”. S’ils ne l’acceptaient pas, d’autres derrière étaient prêts à prendre leur place », explique le maire de à un marché très structuré, la justice peine à apporter une réponse efficace. La 13e chambre de Bobigny ne juge, le plus souvent, que des sans-grade du trafic qui retourneront fissa sur le ter-ter » le terrain sitôt leur affaire jugée. Lors des quelques grosses affaires, l’essentiel des avoirs financiers échappe aux juges. Parfois, un trafiquant aura ouvert une sandwicherie en banlieue. Mais il ne sera propriétaire que du fonds de commerce, jamais des murs », déplore Sébastien Piffeteau. On saisit alors une broche à kebab et quelques frigos. Il y en a pour quelques centaines d’euros tout au plus. » L’essentiel de l’argent file à l’étranger, au Maghreb notamment. Corinne Goetzmann, la présidente de la 13e chambre, se désole Il nous faudrait plus de moyens d’enquête, mais la coopération internationale n’est pas du tout efficace. De ce côté-là, il y a encore beaucoup à faire. »
Létat des fonds accessible ici est un outil de recherche structuré qui décrit, de manière homogène et synthétique, toutes les archives historiques conservées par la Ville de Saint-Denis, du Moyen Âge à nos jours. Cet état des fonds décrit tous les fonds, qu’ils soient ou non numérisés.Chaque fonds a fait l’objet d’une fiche-type organisée en rubriques fixes. Un adolescent de 16 ans a été tué d'un coup de couteau, ce lundi aux Lilas, a informé le parquet. Un suspect âgé de 17 ans est en garde à vue. Les deux ne sont pas connus des services de adolescent de 16 ans a été tué d'un coup de couteau, ce lundi aux Lilas Seine-Saint-Denis, ont informé le parquet ainsi qu'une source policière. Il est décédé vers 20h après avoir reçu un coup de couteau en pleine poitrine, a indiqué le parquet de adolescent de 17 ans, suspecté d'être l'auteur, a été interpellé vers 20h, peu de temps après les faits, et placé en garde à faits ont eu lieu dans un quartier pavillonnaire de la ville, en présence de quelques jeunes, selon une source policière, qui exclut pour l'heure un homicide lié aux phénomènes de bande. Les deux adolescents ne sont pas connus des services de police. L'enquête a été confiée à la police judiciaire du entre bandes, harcèlement en lignePlusieurs adolescents ont été tués récemment en Ile-de-France dans des affaires en lien avec les phénomènes de harcèlement en ligne ou d'affrontement entre bandes de jeunes mai, en l'espace d'une semaine, deux adolescents du Val-de-Marne, âgés de 17 ans avaient été poignardés, à la suite de différends. Alysha, collégienne de 14 ans victime de harcèlement, avait elle été retrouvée noyée dans le Val-d'Oise en récemment, un jeune homme de 19 ans est mort en juillet quelques jours après avoir été violemment frappé dans un contexte de rivalités entre bandes originaires de deux villes voisines de l'Essonne. Voustrouverez ici : L'état civil des villes de Seine-Saint-Denis Cliquez ici pour consulter les actes d'état civil (1523 à 1921 pour les baptêmes et naissances, et jusqu'en 1922 pour les mariages et décès). Les recensements de population Cliquez ici pour consulter les recensements de population (1821-1936). Les listes électorales Société Quatre ans après les émeutes urbaines de l'automne 2005, le "neuf-trois" connaît une situation inédite, où chômage de masse et insécurité voisinent avec des zones engagées dans la compétition économique mondiale. Quatre ans après la "crise des banlieues", déclenchée par le décès de deux adolescents poursuivis par la police à Clichy-sous-Bois le 27 octobre 2005, la Seine-Saint-Denis connaît toujours une situation exceptionnelle. Malgré la multiplication des annonces ministérielles, le département n'a pas rattrapé son retard en termes d'emploi, d'éducation et de sécurité. La nouveauté, c'est que, à côté des zones extrêmement pauvres, se sont développés des territoires en pleine explosion économique. D'où une question cruciale pour le département et ses 1,5 million d'habitants comment faire coexister des ghettos sociaux et ethniques et des territoires plongés dans la compétition économique mondiale ? Radiographie en six points et sans tabous du département français le plus visité par les ministres de la République. L'immigration, comment faire face ? Bobigny, lundi 19 octobre, 7 heures du matin, - 2 degrés. Comme tous les jours de la semaine, des grappes d'hommes attendent d'être embauchés devant l'entrée de Batkor, un dépôt de bricolage situé sur la nationale 3. Au vu et au su de tous, une trentaine de clandestins proposent leur main-d'oeuvre aux entreprises du bâtiment ou aux particuliers. A partir de 70 ou 80 euros la journée pour un plâtrier, un plombier ou un maçon. Moins cher encore en négociant les tarifs. La plupart attendent des heures sans succès. Trop de concurrence "Il n'y a pas beaucoup de clients mais beaucoup de monde qui veut se faire embaucher", se désole Hassan, Turc d'une quarantaine d'années qui essaie de se réchauffer en attendant un éventuel client. Même si le lieu est connu de la police et des élus depuis des années, les interventions n'y font rien comme l'immigration n'arrête jamais en Seine-Saint-Denis, porte d'entrée sur le territoire français avec l'aéroport de Roissy, de nouveaux candidats se présentent tous les jours, été comme hiver, pour tenter de gagner leur vie. Et les derniers arrivés remplacent ceux qui finissent par trouver des emplois moins exposés. Entre 1999 et 2006, malgré les politiques de restriction affichées par l'Etat, le nombre d'étrangers dans le département a encore progressé de 22,4 % alors que, dans le même temps, le nombre de Français augmentait seulement de 3,7 %. Dans certaines villes, la proportion d'étrangers dépasse désormais les 30 %, soit près de six fois la moyenne nationale, comme à Clichy-sous-Bois 37,2 % ou Aubervilliers 34,6 %. Voilà pour les chiffres officiels. Car les autorités estiment qu'il pourrait y avoir entre 100 000 et 300 000 sans-papiers en Seine-Saint-Denis, la plupart non recensés. Soit l'équivalent de villes comme Saint-Denis et Montreuil qui s'ajoutent à la population officielle. "Le problème n'est pas d'arrêter les flux. C'est totalement illusoire, c'est comme de vouloir arrêter la marée avec ses bras. Le problème, c'est de savoir ce qu'on fait pour ces populations. Or, aujourd'hui, on n'a pas suffisamment de moyens pour assurer leur intégration", relève le maire PS d'Aubervilliers, Jacques Salvator. Conséquence à Aulnay-sous-Bois, Villetaneuse, Clichy, La Courneuve, Stains, Montfermeil, Aubervilliers, notamment, certains quartiers se ghettoïsent et ne comptent quasiment plus de "Blancs". Uniquement des Maghrébins ou des Noirs, parfois des Asiatiques. "La spécialisation du département se renforce. Tant qu'il n'y aura pas de solidarité régionale ou nationale sur l'accueil de l'immigration, je ne vois pas comment on pourra s'en sortir", regrette Bénédicte Madelin, directrice de Profession banlieue, une des figures de la vie associative départementale. Un constat confirmé par l'Insee entre 1999 et 2006, la Seine-Saint-Denis a absorbé autant d'étrangers que tous les autres départements d'Ile-de-France réunis, en dehors de Paris. Les bureaux de cadres blancs, la face cachée du "9-3" La devanture est discrète. Mais l'intérieur est chic et raffiné et on y croise des Japonais et des Américains, venus pour leur business. Comme à Singapour, New York, Pékin ou... Neuilly-sur-Seine, la chaîne de luxe Marriott vient d'ouvrir un de ses hôtels dans un immeuble moderne de 150 chambres à Saint-Denis au coeur du quartier Pleyel, non loin de la future cité du cinéma de Luc Besson. A 159 euros minimum la nuit, la chaîne vise la clientèle des hommes d'affaires qui fréquentent les quartiers autour du Stade de France, un des territoires les plus dynamiques de la région parisienne. Depuis dix ans, le nombre de mètres carrés de bureaux a littéralement explosé dans cette zone grâce aux transferts d'entreprises attirées par le faible coût de l'immobilier et l'importance des réseaux de transport. "On sort de décennies de marasme lié à la désindustrialisation", relève Stéphane Peu, vice-président de la communauté d'agglomération de Plaine-Commune, qui regroupe sept villes autour de Saint-Denis. Des sociétés comme Generali, EDF, la Société générale, La Banque postale, par exemple, ont transféré une partie de leurs services ces dernières années. Soit 27 000 emplois privés de plus en dix ans sur le seul secteur de Saint-Denis. D'autres prévoient d'arriver à plus ou moins long terme, comme Orange 2 000 emplois début 2010 et peut-être la chaîne Radisson pour un immense complexe hôtelier autour d'un nouveau palais des congrès. C'est la face cachée de la Seine-Saint-Denis, en quelque sorte. Mais aussi un nouvel enjeu pour les élus comment faire cohabiter ces territoires en pleine expansion avec les zones défavorisées, parfois situées à quelques centaines de mètres à peine ? Et comment faire bénéficier les habitants du développement de cette "Défense bis" ? "Les entreprises sont venues en Seine-Saint-Denis avec leurs salariés. Aujourd'hui, le challenge c'est qu'elles se tournent vers les viviers locaux de diplômés, notamment nos 65 000 étudiants", souligne Francis Dubrac, président de l'agence de développement du département. Un défi considérable tant ces nouveaux quartiers d'affaires ressemblent aujourd'hui à des enclaves. Le matin, entre 8 et 10 heures, les RER amènent de Paris des wagons entiers de cadres blancs, qui repartent le soir par la même voie ; ils croisent les employés de nettoyage ou de sécurité, souvent noirs ou maghrébins, qui arrivent la nuit et repartent le matin aux aurores quand les bureaux se remplissent. Un indice de la puissance des ségrégations ethnique et sociale. Un signe aussi de l'extraordinaire retard de la Seine-Saint-Denis, département le plus jeune de France, en matière de formation. A peine 10 % de la population de plus de 15 ans dispose d'un diplôme supérieur. Contre 38 % à Paris. "C'est un point sur lequel rien, ou presque, n'a bougé depuis quinze ans", regrette Bénédicte Madelin. La conséquence est logique les entreprises qui voudraient embaucher des diplômés sur place sont parfois contraintes de se tourner vers d'autres départements. Un département sous perfusion publique Un immense chantier. Une nationale déviée, des tours rasées, d'autres reconstruites. Des espaces publics transformés. A Aulnay-sous-Bois, comme dans 21 autres villes de la Seine-Saint-Denis, les grues occupent le ciel et les ouvriers s'affairent dans un ballet de camions. Ça démolit, ça creuse, ça bétonne, ça reconstruit depuis des mois, et encore pour des années. Les énormes chantiers de la rénovation urbaine vont mobiliser un peu plus de 4 milliards d'euros sur le département d'ici à 2012. Si les objectifs sont tenus, près de 10 000 logements doivent être détruits, 12 000 reconstruits, 27 000 réhabilités, 33 000 "résidentialisés", comme si une guerre silencieuse était passée par là. Dans les villes symboles de Clichy-sous-Bois et Montfermeil, où les investissements publics atteignent près de 500 millions d'euros, les transformations positives sont en cours. "Ça dépasse nos espérances. Tout le monde voit que les grues ont envahi les quartiers et peut sentir que c'est en train de bouger", se réjouit le maire PS de Clichy, Claude Dilain. Mais à peine une crise est-elle en voie de résorption qu'une autre risque de surgir les copropriétés dégradées du bas Clichy, qui n'ont bénéficié d'aucune aide publique "C'est là qu'arrivent tous ceux qui n'ont pas droit au logement social. Les plus pauvres, ceux qui sont sans papiers. Ils se retrouvent dans des conditions de vie intolérables et voient, en plus, qu'ailleurs c'est en train de changer." De fait, la rénovation urbaine est loin de tout régler. D'abord parce que plus de 80 % des appartements démolis sont reconstruits sur place, dans les mêmes quartiers, sans que la sociologie de la population évolue. "On repeint les ghettos", selon l'expression de Yazid Sabeg, le commissaire à la diversité. Ensuite, parce que les financements n'étant pas réactualisés, beaucoup de maires doutent de la réalisation effective de tous les travaux programmés. Enfin parce que la rénovation urbaine a aussi contribué à aspirer une bonne part des crédits publics. Les associations, en particulier, continuent de manquer de moyens et doivent se battre, au quotidien, pour décrocher des subventions. Les communes les plus pauvres ne parviennent à boucler leurs budgets qu'en réduisant au maximum leurs dépenses. Le conseil général, lui-même à court de crédits, ne s'en sort plus. La préparation du budget 2010 se révèle kafkaïenne avec les chutes de recettes dues à la crise de l'immobilier et les transferts de charges de l'Etat vers les collectivités, le conseil général estime qu'il lui manque 100 millions d'euros sur un budget de 1,5 milliard. Un laboratoire du futur qui manque de moyens pour le présent Ils sont plus d'une centaine d'enseignants à manifester devant le siège de l'inspection académique de Bobigny, ce jeudi 22 octobre. Des professeurs des écoles qui protestent contre l'insuffisance des moyens dans l'éducation nationale. A commencer par le manque de remplaçants. "Aujourd'hui, il y a beaucoup de classes sans maître parce qu'il n'y a pas assez de remplaçants", insiste François Cochain, secrétaire départemental du SNUipp, principal syndicat du premier degré. Comme beaucoup de fonctionnaires, les enseignants s'alarment du décalage entre la frénésie des "annonces" ministérielles dans le département et les moyens réels des services publics. Depuis 2005, il est vrai, tous les plans communication des ministres passent par le "9-3", département à la mauvaise presse mais photogénique pour les hommes politiques. En 2008, la Seine-Saint-Denis a enregistré 174 déplacements ministériels, soit un tous les deux jours en moyenne. Un rythme invraisemblable qui se maintient en 2009 rien que pour le mois de septembre, la préfecture a comptabilisé 25 visites. Tous les prétextes sont bons la pose de la première pierre des Archives nationales François Fillon, l'inauguration de logements étudiants Valérie Pécresse, la lutte contre les trafics de stupéfiants Brice Hortefeux, le plan jeunes Martin Hirsch, une visite de collège privé Luc Chatel... Présentée comme un "laboratoire" du futur, la Seine-Saint-Denis manque paradoxalement de moyens pour le présent. Année après année, les élus locaux se mobilisent pour s'opposer aux fermetures de classes, obtenir des moyens policiers, dénoncer la faiblesse de la pédopsychiatrie, défendre les postes d'adultes-relais, sauver les crédits des associations... "De tous les côtés, discrètement, presque clandestinement, l'Etat pompe de l'argent. Il y a beaucoup de communication et d'agitation médiatique. Mais, dans la réalité, les moyens sont retirés en permanence", explique le maire PS d'Aulnay-sous-Bois, Gérard Ségura, contraint de se battre lors de chaque rentrée pour tenter d'éviter des suppressions de classes. "On est dans la schizophrénie la plus complète. Les ministres viennent tous pour vanter leurs plans. Mais il n'y a plus de moyens de droit commun, notamment sur l'éducation on avait obtenu 3 000 postes avec le plan d'urgence pour la Seine-Saint-Denis en 1998. Mais, depuis, on les a reperdus", ajoute Claude Bartolone, président PS du conseil général, en donnant l'exemple de la scolarisation des enfants de 2 ans dans les ZEP, qui ne concerne plus que 5 % des élèves contre 22 % en 1999. Sécurité la violence, un combat jamais terminé Dans la nuit tombante, les hommes de la police scientifique fouillent la ruelle et le petit square. On voit leurs lampes qui balaient le sol à la recherche d'indices. Deux jeunes de Saint-Ouen viennent de mourir, ce samedi 26 septembre, tués par balles, probablement à cause d'un trafic de stupéfiants. Le corps d'une des victimes est toujours allongé au sol, entre deux voitures. Un policier relève les plaques d'immatriculation des véhicules situés à proximité. Un habitant l'interpelle "C'est pas trop pénible de ramasser les morts ?" Le policier "Ça s'était calmé. Mais, en ce moment, il y en a un tous les trois jours." Fin du dialogue. L'accumulation de faits divers graves, ces dernières semaines, a relancé les interrogations sur la délinquance en Seine-Saint-Denis. Les élus de droite comme de gauche ont réagi en exigeant des moyens supplémentaires. La préfecture de police a rétorqué que les effectifs n'ont jamais été aussi importants 4 913 fonctionnaires en 2009, contre 4 340 en 2003 et que la mise en place du Grand Paris de la sécurité, depuis septembre, va permettre la reconquête des territoires. De fait, les chiffres ne sont pas bons. Les vols avec violences et les agressions physiques, qui ont le plus gros impact sur les habitants, restent en effet nettement plus élevés que dans le reste de l'Ile-de-France. Deux fois plus fréquents, par exemple que dans les Hauts-de-Seine. "La situation n'est pas satisfaisante. Les habitants souffrent dans certains quartiers de la présence d'individus qui se sont octroyés tous les droits", reconnaît Alain Gardère, directeur de la sécurité de proximité à la préfecture de police. Sur le front des violences urbaines, la tension n'est jamais retombée depuis 2005, pourtant considérée comme une année exceptionnelle. Le nombre de dégradations et de destructions de voitures, notamment par incendie, n'a pas diminué. Idem pour les violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, notamment les policiers 1 472 agressions recensées en 2008 contre 1 137 en 2005. "La situation est maîtrisée mais c'est toujours assez tendu. On sait qu'il faut toujours être vigilant et que ça peut s'envenimer pour trois fois rien", souligne Philippe Prunier, directeur territorial de la sécurité de proximité, en faisant état d'une augmentation significative du nombre de policiers blessés en intervention. La situation est aussi délicate pour la lutte contre la criminalité. Notamment les réseaux de drogue, que l'Etat promet de faire tomber depuis des années, mais qui sont toujours aussi présents. Il suffit d'ouvrir les yeux. A Saint-Ouen, dans les ruelles à proximité de la mairie. A Drancy, dans la cité du Nord, à côté de la gare RER du Bourget. A Sevran, aux Beaudottes, pas très loin du supermarché. A Stains, au Clos-Saint-Lazare. A Saint-Denis, près de la gare RER - mais depuis la visite sur place du ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, fin septembre, les trafics de crack se sont déplacés sur les villes voisines. "On va travailler sur les trafiquants et sur leur patrimoine", prévient Christian Flaesch, directeur de la police judiciaire parisienne, en annonçant la mise en place d'un "plan stups". Une promesse déjà entendue à de nombreuses reprises par les élus locaux "Le problème, c'est que chaque fois que la police fait tomber un réseau, l'appât du gain et la misère sociale sont tels que d'autres prennent immédiatement la place", remarque Claude Bartolone. Dans le "9-3", les combats ne s'arrêtent jamais. La crise, ultime paradoxe Les hypermarchés pour pauvres ne désemplissent pas. A Villemomble, le week-end, devant un des principaux hard-discounters de la Seine-Saint-Denis, les voitures se garent par centaines, sur le parking et dans les rues aux alentours. Dans les allées, c'est une étonnante cohue pour réussir à circuler entre des rayons encombrés. Après des heures de file d'attente, les clients repartent le coffre plein de nourriture à bas coût. Souvent des produits proches de la date de péremption mais à des prix imbattables. La Seine-Saint-Denis reste en effet un département pauvre, très pauvre 50 000 allocataires du RSA, 12 % de la population qui bénéficie de la couverture médicale universelle CMU, un revenu moyen de 18 800 euros par famille. "Les pauvres sont concentrés en Seine-Saint-Denis. Au fond, ça a l'air d'arranger tout le monde - sauf quand ça explose. Mais ceux qui pensent qu'il suffit d'ériger une ligne Maginot entre les villes riches et les villes pauvres se trompent complètement. Comme en 1940 !", prévient Claude Dilain. De façon paradoxale, pourtant, le "9-3" échappe pour l'instant, en partie, à la crise économique actuelle. Le taux de chômage n'a pas explosé depuis le début de l'année 2009. Car la vieille image d'un département industriel est fausse. Il reste certes des bastions ouvriers - comme l'usine PSA à Aulnay-sous-Bois -, mais l'industrie et le bâtiment ne représentent plus que 100 000 emplois contre 500 000 pour les services et le commerce. Le département est désormais tiré par le secteur tertiaire et les PME, y compris dans des filières porteuses comme l'assurance, la santé et l'audiovisuel. Comme un clin d'oeil, BNP Paribas, qui vient d'installer une de ses filiales 3 200 salariés à Pantin, communique désormais à grand renfort de publicités sur le fait d'être le premier employeur privé du département. "Il y a dix ans, je m'engueulais avec les patrons des grands groupes. Aujourd'hui, c'est eux qui viennent nous démarcher ou qui participent aux colloques sur les discriminations", se félicite Claude Bartolone, convaincu que les entreprises ont pris le virage de la diversité et que cela peut aider son département à passer le cap de la crise. Luc Bronner Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Archivesen ligne; Archives de France/Seine-Saint-Denis; Aux AD: Etat-Civil, Registres paroissiaux, Tables décennales; Registres matricules; Recensements de population; Listes électorales; Notaires; Tables de successions; Inventaires; MAJ : Septembre 2015: Val-de-Marne. Archives du Val-de-Marne; Téléverser un fichier . Directeur: Adresse: 10 rue des Archives
93 Association ou cercle généalogique de Seine-Saint-Denis Cercle généalogique dans le département de Seine-Saint-Denis Cercle d'Etudes Généalogiques et Héraldiques de l'Ile-de-France ceghif 46, route de Croissy 78110 Le Vesinet 01 39 76 11 52 Revue Stemma Relevés d'actes Cercle Généalogique de l'Est Parisien contact Archives départementales de la Seine-Saint-Denis 18, avenue Salvator Allende 93000 Bobigny. Revue trimestrielle "le Francilien du Levant" Relevés d'actes Retour vers l'accueil Membre d'association ? Faites en la promotion sur cette fiche en nous informant de l'actualité de votre cercle généalogique. Pour cela rien de plus simple laissez un commentaire ci dessous ou via contact.
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Le trafic est en partie interrompu sur le tramway T4 entre les stations Gargan et Hôpital de Montfermeil ce vendredi 12 août 2022. Par Olivia Kouassi Publié le 12 Août 22 à 952 La circulation du tramway T4 est interrompue vendredi 12 août 2022 en Seine-Saint-Denis. ©MD / actu Seine-Saint-DenisEn raison d’une panne sur les signalisations, le trafic est en partie interrompu sur le tramway T4 entre les stations Gargan et Marx Dormoy Seine-Saint-Denis ce vendredi 12 août 2022. Reprise estimée à 14 heuresLe trafic est donc complètement à l’arrêt sur une des branches du tramway. La SNCF, en charge de l’exploitation de cette ligne, n’a pas précisé d’heure de retour à la normale. La circulation est en outre ralentie entre les stations Marx Dormoy et Hôpital de Montfermeil 12 à 15 min entre chaque tram.Pour palier à cette interruption de trafic, la SNCF conseille d’emprunter le RER B ou E ainsi que les lignes de bus 605, 613, 146, 603, 623, 643 et article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu Seine-Saint-Denis dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
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Il y a 20 cimetières qui dépendent de la ville de Paris, pour 19 d'entre eux, vous pouvez désormais consulter en ligne les registres d'inhumations. Ils ont été numérisés et publiés pour la période de 1804 à 1968 et sont disponibles sur le portail des archives de Paris. Il s'agit de 13 cimetières intra-muros Auteuil 16e, Batignolles 17e, Belleville 20e, Bercy 12e, Charonne 20e, Grenelle 15e, La Villette 19e, Montmartre 18e, Montparnasse 14e, Passy 16e, le Père-Lachaise 20e, Saint-Vincent 18e, Vaugirard 15e, en excluant le cimetière du Calvaire 18e, pour lequel il n'existe pas de registre ; et des 6 cimetières extra-muros situés en dehors des limites de Paris, mais gérés par la Ville de Paris Bagneux 92, La Chapelle Saint-Denis-93, Ivry 94, Pantin 93, Saint-Ouen 93 et Thiais 94. Attention, il existe aussi dans Paris des cimetières qui n'appartiennent pas à la Ville de Paris, tels que les cimetières communaux de Gentilly, près du stade Charléty, de Montrouge à la porte d'Orléans ou de Saint-Mandé. Leurs registres ne sont pas en ligne. Pour rechercher le nom d'une personne inhumée sur le site des archives de Paris, il faut d'abord consulter les répertoires annuels, puis les registres journaliers d’inhumation. Ces registres livrent de précieux renseignements pour les généalogistes la date du décès ou d'inhumation ; l'emplacement et étendue de la sépulture dans le cimetière concerné ; le lieu du décès arrondissement ou commune ; l'âge du défunt. Autre piste possible, répertoires alphabétiques des transports de corps. Ils listent les défunts pris en charge par le service central des pompes funèbres de la Ville de Paris. Vous pouvez rechercher les noms de personnes parmi les convois payants et les convois gratuits, mais la recherche devient vite fastidieuse si vous ne connaissez que le nom, les registres sont en effet organisés chronologiquement. Toutefois, ils livrent eux aussi d'intéressantes informations nom du défunt, âge, adresse, cimetière de destination, etc. Autre mise en ligne, le fichier des électeurs. Vous pouvez désormais accéder aux fichiers des électeurs 1860-1870 et au fichier des électeurs de l'ensemble du département de la Seine 1921-1939. Ces deux fichiers proviennent du bureau des élections de la préfecture de la Seine. Le fichier 1860-1870 ne concerne que les électeurs de la capitale, celui de 1921-1939 recense les électeurs de l’ensemble du département de la Seine Paris et communes des actuels départements des Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne. Attention, seuls figurent les électeurs pour lesquels une modification radiation, nouvelle inscription a été faite. L'intégralité des listes est consultable en salle de lecture. Chaque fiche mentionne l’année d’inscription, le nom et les prénoms de l’électeur, son adresse, sa profession, sa date et son lieu de naissance ainsi que l’arrondissement et le quartier de vote pour les Parisiens et, pour les banlieusards, l’arrondissement, le canton et la commune de vote. Les fiches sont classées par ordre alphabétique des noms de famille. Liens Accès aux répertoires annuels d'inhumation Accès aux registres journaliers d'inhumation Service central des cimetières de Paris Accès aux répertoires alphabétiques des transports de corps Accès aux fichiers des électeurs Lire aussi visiteurs attendus à la Toussaint dans les cimetières parisiens Paris les recensements de 1926, 1931 et 1936 sont en ligne

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