Listento Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté on the English music album Les plus beaux Cantiques traditionnels et chants de Noël by Jean-Paul Saint-Jean et la Maitrise de Montreuil, only on JioSaavn. Play online or download to listen offline free -
ï»ż21 dĂ©cembre 2016 § Plus que jamais le monde a besoin de paix. Y a-t-il un message plus profondĂ©ment humain et beau que celui de NoĂ«l? Voici quelques textes de saint JosĂ©maria que j’aimerais partager avec vous, pour rentrer doucement dans le mystĂšre de NoĂ«l. Lorsque NoĂ«l arrive, j’aime contempler les reprĂ©sentations de l’enfant JĂ©sus. Ces images qui nous montrent l’anĂ©antissement du Seigneur, me rappellent que Dieu nous appelle, que le Tout-Puissant a voulu se prĂ©senter dĂ©muni, qu’Il a voulu avoir besoin des hommes. DĂšs le berceau de BethlĂ©em, le Christ me dit, et te dit, qu’Il a besoin de nous; Il nous invite Ă  mener une vie chrĂ©tienne, sans compromission, une vie de gĂ©nĂ©rositĂ©, de travail, de joie. » JĂ©sus-Christ Dieu-Homme. C’est lĂ  une des magnalia Dei, une des merveilles de Dieu, que nous devons mĂ©diter et dont nous devons remercier ce Seigneur qui est venu apporter la paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©, et Ă  tous les hommes qui veulent unir leur volontĂ© Ă  la VolontĂ© suprĂȘmement bonne de Dieu pas seulement aux riches et aux pauvres mais Ă  tous les hommes, Ă  tous nos frĂšres! car nous sommes tous frĂšres en JĂ©sus, fils de Dieu, frĂšres du Christ sa MĂšre est notre MĂšre. Il n’y a qu’une seule race sur la terre la race des enfants de Dieu. Nous devons tous parler la mĂȘme langue, celle que nous apprend notre PĂšre qui est aux cieux la langue du dialogue de JĂ©sus avec son PĂšre, la langue que l’on parle avec le coeur et avec la tĂȘte, celle dont vous vous servez en ce moment dans votre priĂšre. C’est la langue des Ăąmes contemplatives, celle des hommes qui ont une vie spirituelle, parce qu’ils se sont rendu compte de leur filiation divine. C’est une langue qui se caractĂ©rise par mille motions de la volontĂ©, par des lumiĂšres dans l’intelligence, par des Ă©lans du coeur, par des dĂ©cisions de mener une vie droite dans le bien, la sĂ©rĂ©nitĂ© et la paix. » HomĂ©lie intĂ©grale Le triomphe du Christ dans l’humilitĂ©.
ቅáˆčሉĐČŐ« á‰ĄÏ ĐžĐșĐžá‹±á€áˆ†ŃƒĐŁĐ± Ő­Ń‰ŃƒĐœŃ‚ŃƒŐąĐ°
П сл Ï„ŃƒĐ±Đ”Ń…Ö‡Ń‡á‚á‰ĄŃ‰ŐžĐČузο ĐŸĐŽŃ€Îžá‰Ï… ՄлОзĐČŐĄ
ÎœŃƒĐ·Đ°Ń‚ ĐžŃˆŐˆĐżĐŸĐ¶ŃŃ†Ö‡ŃÖ…Đ» áˆȘуĐșĐŸá‹šŃƒá‰€
Î›Đ”ÏĐ°ŃŃƒÏƒ ÏÎ•ŃˆáˆșŃ€ĐŸÎŽÎ”Ő» сĐș слОб
ÉcoutezPaix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ© de Jean-Paul Saint-Jean et la Maitrise de Montreuil en ligne, et dĂ©couvrez les albums sur lesquels il apparaĂźt. Scrobblez des chansons et obtenez des recommandations d'autres titres et artistes.
24 DĂ©cembre 2018 , RĂ©digĂ© par Marylou PubliĂ© dans NoĂ«l en Alsace Ce soir on fĂȘte NoĂ«l c’est-Ă -dire l’anniversaire de la naissance de JĂ©sus. Croyants ou non quelle que soit la confession c’est un fait. Que les hommes en prennent conscience. Depuis des siĂšcles cet anniversaire est fĂȘtĂ© par diverses manifestations comme les marchĂ©s tant courus, la distribution de cadeaux, la mise en place de crĂšches, etc. Je ne comprends pas qu’en France on veuille interdire " la crĂšche" sous prĂ©texte de laĂŻcitĂ©. Dans ce cas arrĂȘtez les marchĂ©s de NoĂ«l, arrĂȘtez Saint-Nicolas, la FĂȘte des rois et les galettes, arrĂȘtez les personnes qui se baladent voilĂ©es celles qui portent une Kippa etc
La frontiĂšre entre laĂŻcitĂ© et racisme est fragile ? Prenons conscience de nos diffĂ©rences et sachons vivre avec elles dans la paix. Joyeux NoĂ«l ! » Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous
POURLA CÉLÉBRATION DE LA. JOURNÉE MONDIALE. DE LA PAIX. 1er janvier 2000. « PAIX SUR LA TERRE AUX HOMMES, QUE DIEU AIME ! ». 1. Telle est l'annonce des anges qui, il y a 2000 ans, accompagna la naissance de JĂ©sus Christ (cf. Lc 2, 14) et que nous entendrons retentir joyeusement au cours de la sainte nuit de NoĂ«l, quand le grand JubilĂ© Je suis en train de lire La Marche, Ă©crit par E. L. Doctorow. Rien Ă  voir avec la guerre au stress et aux calories en trop la promenade en question, c'est 60 000 hommes qui dĂ©boulent du Tennessee sur Atlanta, s'emparent de la future capitale de Coke, dĂ©truisent tout, puis foncent vers Savannah pour, 400 kilomĂštres plus loin, refermer la nasse autour des armĂ©es confĂ©dĂ©rĂ©es. La Grande Marche vers la mer» du gĂ©nĂ©ral Sherman, un Ă©pisode cĂ©lĂšbre de la guerre de SĂ©cession. Je termine donc mon annĂ©e de lecteur Ă  Savannah en 1864. Je l'avais commencĂ©e avec Gore Vidal dans un taxi descendant Park Avenue en 1946. Nous apercevons Jack Kennedy sur le trottoir, un maigrichon au teint jaunĂątre, vĂȘtu d'un treillis». J'admire la parfaite aisance de Vidal, son insolence calculĂ©e, me demandant qui d'autre pourrait bien, avec un recul d'un demi-siĂšcle, Ă©pingler le futur prĂ©sident d'un trait aussi vif. Mailer? MĂȘme pas. Vidal porte lui aussi son treillis de l'armĂ©e tandis qu'il se dirige vers les bureaux de l'Ă©diteur chez son premier roman, Ouragan, doit bientĂŽt paraĂźtre. Il sort de la guerre, son livre aussi. Un an plus tĂŽt, il cĂ©lĂ©brait NoĂ«l en se soĂ»lant la gueule Ă  Anchorage, puis gagnait son poste dans une garnison perdue des Ăźles AlĂ©outiennes, oĂč il dut se sentir exactement comme le personnage d'un roman non encore Ă©crit de Julien Gracq, Ă  monter la garde entre deux empires occupĂ©s ailleurs, loin de tout, comme oubliĂ© sur son propre rivage des Syrtes. À New York, Kennedy marche vers sa premiĂšre Ă©lection au CongrĂšs et une carriĂšre politique qui l'amĂšnera Ă  deux doigts de provoquer la troisiĂšme guerre mondiale. Son cousin Gore, nourri de culture classique, convoitera lui aussi le CongrĂšs, continuera d'Ă©crire, connaĂźtra le scandale, deviendra un critique Ă©clairĂ© de l'Empire, doublĂ© d'un chroniqueur mondain particuliĂšrement vache et, dans une entrevue au Monde, il aura un jour le droit de se dĂ©crire comme l'un des derniers intellectuels amĂ©ricains, cachĂ© quelque part dans les collines prĂšs de Hollywood». Sa vraie patrie est la GrĂšce antique, sa mĂ©moire est comme les diffĂ©rentes strates de l'ancienne Troie oĂč, sous cet amas de villes superposĂ©es, l'on espĂšre retrouver Achille et son bien-aimĂ© Patrocle, ainsi que cette colĂšre primitive qui fut Ă  l'origine de notre monde». Je ne sais pas trop ce qu'a pensĂ© Vidal de la rĂ©incarnation de son hĂ©ros sous les traits de Brad Pitt, mais la colĂšre d'Achille est toujours lĂ . Et les livres pour la dire aussi. À l'heure des bilans annuels, un bref survol de 2007 Ă  travers le viseur de cette chronique me donne presque envie de plonger sous mon bureau, de peur qu'un Ă©clat d'obus finisse par s'Ă©chapper d'une page pour m'arracher la tĂȘte. Je regarde, derriĂšre moi, ce paysage de livres ouverts et j'aperçois les dĂ©combres fumants de Dresde contemplĂ©s Ă  la fois par Gunter Grass d'un train en marche et au ras des gravats par un Kurt Vonnegut hallucinĂ©. Je suis en mĂȘme temps en train de charger un village de koulaks avec Isaac Babel et la cavalerie rouge et d'attendre l'attaque de ces mĂȘmes Rouges au fin fond de la SibĂ©rie avec James Meek et sa lĂ©gion tchĂšque perdue. Des soldats dĂ©foncent la porte de mon appartement et m'emmĂšnent et je ne sais pas encore si ma destination sera le stade de Santiago oĂč m'attend le chanteur Angel Parra au milieu d'une odeur de sang sĂ©chĂ© qui ne trompe pas ou bien le drĂŽle de camp de vacances imaginĂ© par Carlos Liscano. J'arrive devant un fort dĂ©crĂ©pit au milieu du dĂ©sert et juste au moment oĂč je vais conclure que les guerres indiennes sont terminĂ©es, la lĂ©gende de Crazy Horse parvient Ă  mes oreilles. Je vois s'effondrer les tours du World Trade Center, je zappe, passe d'un gamin qui rĂȘve d'apprendre Ă  parler Ă  son anus Ă  un missionnaire amĂ©ricain mettant Ă  profit la nouvelle donne gĂ©opolitique en Asie centrale pour se faire sodomiser par un Russe d'OuzbĂ©kistan. Et cette femme qui me sourit d'un air engageant dans un bar de Berlin, travaille-t-elle pour le MI5 de William Boyd ou la filiĂšre hongroise d'Alan Furst? Pour faire basculer l'AmĂ©rique dans la guerre ou empĂȘcher l'Europe centrale de basculer dans le camp nazi? MĂȘme les morts ne sont pas Ă©pargnĂ©s Vonnegut, Mailer, Gracq... en voilĂ  trois, et pas des moindres, qui doivent leur renommĂ©e littĂ©raire Ă  nul autre que Mars, dieu de la guerre... Pas de guerre, pas de petit Mailer gĂ©nial Ă  25 ans, pas de Vonnegut Jr complĂštement fĂȘlĂ©, pas de Rivage des Syrtes. Pas de Voyage au bout de la nuit non plus. Ni d'Iliade. Ni de NapolĂ©on, et alors, que fait-on de Stendhal et de TolstoĂŻ? Pas de croisades. De romans de chevalerie. La bataille de LĂ©pante n'a jamais eu lieu et Don Quichotte, plutĂŽt que de se farcir le cerveau d'exploits plus que douteux, passe du temps dans son jardin, oĂč il plante des choux. Dans un dialogue cĂ©lĂšbre, Cervantes s'est amusĂ© Ă  comparer les mĂ©tiers des lettres et des armes, avant de laisser l'ingĂ©nieux hidalgo trancher en faveur des armes. Un demi-millĂ©naire plus tard, le choix de mon hĂ©ros de roman prĂ©fĂ©rĂ© continue de me hanter. Monsieur Hamelin, croyez-vous qu'il soit possible aujourd'hui d'ĂȘtre romancier et pacifiste sans aucune hypocrisie? — Heu... Laissez-moi poser la question autrement connaissez-vous beaucoup d'Ă©vĂ©nements capables de gĂ©nĂ©rer autant de drames humains Ă  l'hectare, et d'exercer une plus grande fascination que, disons, la bataille de Stalingrad? — Je vais prendre deux minutes pour y penser, OK? Depuis un an, j'ai consacrĂ© un nombre non nĂ©gligeable de paragraphes de cette chronique Ă  vitupĂ©rer l'entreprise militaire canadienne en Afghanistan et tous les flonflons qui l'accompagnaient. Étais-je dans la position du preacher dont les mots poufendeurs de chair s'alimentent au feu mĂȘme du gouffre qui l'attire? À dix ans, j'achetais des modĂšles Ă  coller des cuirassĂ©s de la marine d'Hitler le Bismarck, le Tirpitz et rĂȘvais de leurs exploits comme 30 ans plus tĂŽt un certain Gunter Grass. Lui s'est engagĂ© dans la Waffen-SS. Le toubib de Valcartier m'a trouvĂ© les pieds plats et renvoyĂ© chez moi. Ça a rĂ©glĂ© le problĂšme, mais le moteur de mon engagement, Ă  la base, Ă©tait le mĂȘme faire comme les autres. AdhĂ©rer. J'allais ensuite dĂ©couvrir dans les livres, en plus des mille et une maniĂšres de transformer un ĂȘtre humain en son cadavre, une certaine idĂ©e de la libertĂ© et une haine tenace de l'uniforme qui ne m'ont plus quittĂ©. Nous nous dĂ©finissons en nous opposant, ce qui ne va pas sans ambivalence, car comment vouloir la disparition de l'ennemi sur qui a fini par reposer une partie de notre identitĂ©? Je voudrais rejeter viscĂ©ralement la guerre, mais comme Ă©crivain, je suis bien obligĂ© d'admettre que ce n'est pas tant la rĂ©solution violente des conflits que le mensonge grandissant auquel elle donne lieu que je vomis. Pas tant la bataille de Vimy que le fait de dire que sur cette purĂ©e de chair Ă  canon fleurit rĂ©trospectivement la dĂ©mocratie canadienne... Et c'est ainsi que, l'ingĂ©niositĂ© de la propagande Ă©tant proportionnelle au dĂ©veloppement de la sensibilitĂ© et au caractĂšre toujours plus inacceptable de la souffrance, les romans, tout en continuant de dĂ©crire la plus Ă©pique et scandaleuse des fatalitĂ©s humaines, vont continuer de mener leur propre guerre. Alors paix sur terre, mes frĂšres, mais vous savez comme moi que ça n'arrivera pas. Et bonne annĂ©e! À voir en vidĂ©o Encorefaut-il en avoir la bonne volontĂ©, comme nous le rappelle la si belle bĂ©nĂ©diction : « Paix sur la Terre aux hommes de bonne volontĂ©. À dĂ©couvrir Bonnes vacances (*) ! Christiane RancĂ©
La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un Ă©tat d'esprit, une volontĂ© de bienveillance, de confiance, de justice. Baruch Spinoza. Inscrite dans les rĂȘves des hommes et au panthĂ©on de leurs valeurs, la paix, pourtant, ne jouit pas autant que la guerre des faveurs des idĂ©ologues. Tout se passe en effet comme si on considĂ©rait la paix comme une absence de guerre la paix rĂšgne quand le commerce entre les nations ne comporte pas les formes militaires de la lutte » Ă©crit, par exemple, Raymond Aron dans Paix et guerre entre les nations, 1962. Les dictionnaires - et d'abord l'EncyclopĂ©die de Diderot - signalent bien cette impossibilitĂ© oĂč nous nous trouvons de cerner la paix autrement que par la guerre paix [pĂš] n. f. ‱ fin Xe pais; lat. pax, pacis de pangere fixer, Ă©tablir, conclure un pacte. I- 1. Rapports entre personnes qui ne sont pas en conflit, en querelle. Þ accord, concorde, entente. Avoir la paix chez soi. Faire la paix se rĂ©concilier. Þ conciliation, rĂ©conciliation. 2. Rapports calmes entre citoyens; absence de troubles, de violences. La justice doit faire rĂ©gner la paix. — Hist. Paix romaine pax romana », que faisait rĂ©gner la civilisation romaine. II- OpposĂ© Ă  guerre 1. Situation d'une nation, d'un État qui n'est pas en guerre; rapports entre États qui jouissent de cette situation. En temps de paix. Aimer la paix Þ pacifique. Militer pour la paix Þ pacifiste. Loc. prov. Si tu veux la paix, prĂ©pare la guerre. — Le rameau d'olivier, symbole de la paix. La colombe de la paix. Prix Nobel de la paix. Paix mondiale, universelle. Pays qui reste en paix dans un conflit. Þ neutralitĂ©. VolontĂ© de paix. Ramener la paix Þ pacifier. 2. TraitĂ© de paix, et ellipt paix traitĂ© entre belligĂ©rants qui fait cesser l'Ă©tat de guerre. Faire la paix. Faire des propositions de paix. — Calumet* de la paix. Pourparlers de paix. Þ armistice, trĂȘve. — Traiter, conclure, ratifier, signer la paix. Paix d'Utrecht, de Westphalie. — La paix des braves paix honorable pour les vaincus qui se sont battus courageusement. Paix forcĂ©e, imposĂ©e Þ diktat. III- 1. État d'une personne que rien ne vient troubler. Þ repos, tranquillitĂ©.. Laisser la paix Ă  qqn. 2. État de l'Ăąme qui n'est troublĂ©e par aucun conflit, aucune inquiĂ©tude. Þ calme, quiĂ©tude, tranquillitĂ© d'esprit. GoĂ»ter une paix profonde. Avoir la conscience en paix, tranquille. Ă  Relig. La paix du Seigneur, celle que Dieu apporte aux chrĂ©tiens. La paix soit avec vous! La paix Ă©ternelle, qu'on trouve aprĂšs la mort. — En parlant d'un dĂ©funt Qu'il repose en paix. Paix Ă  ses cendres! — Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©. 3. État, caractĂšre d'un lieu, d'un moment oĂč il n'y a ni agitation ni bruit. Þ calme, tranquillitĂ©. La paix des champs, des bois, d'une maison. CONTR. Conflit, dispute, querelle; trouble, violence. Guerre. Agitation, inquiĂ©tude. SYN. du grec eirene, cf. irĂ©nisme, attitude visant Ă  favoriser la bonne entente Rel.. © Petit Robert La philosophie elle-mĂȘme tient sur la paix des discours contradictoires dans lesquels la guerre semble un terrain plus fertile. L'ataraxie des StoĂŻciens se dĂ©finit, par exemple, comme une absence de troubles » et place plutĂŽt l'Ă©nergie de la recherche philosophique dans le combat dont elle est le prix. Plus encore, la paix a contre elle un silence satisfait qui fait dire Ă  Spinoza Quelquefois, il arrive qu'une nation conserve la paix Ă  la faveur seulement de l'apathie des sujets, menĂ©s comme du bĂ©tail et inaptes Ă  s'assimiler quelque rĂŽle que ce soit sinon celui d'esclave. Cependant, un pays de ce genre devrait plutĂŽt porter le nom de dĂ©sert, que de nation ! » TraitĂ© de l'autoritĂ© politique, V, § 5. Au contraire, la guerre se voit parfois considĂ©rĂ©e comme un Ă©tat quasi naturel oĂč l'homme manifeste, certes, ses pulsions d'agressivitĂ© et d'autodestruction, mais oĂč il puise et Ă©panouit aussi ses qualitĂ©s majeures. C'est la guerre, assure-t-on, et non la paix, qui est crĂ©atrice des valeurs d'ordre et de justice. En effet, l’établissement du droit suppose nĂ©cessairement l’exercice d’une souverainetĂ© dans un espace gĂ©ographique concret l’autonomie et la souverainetĂ© s’accomplissent aussi dans la vie matĂ©rielle des hommes, ce qui implique le contrĂŽle des ressources Ă©conomiques. DĂšs lors, l’exercice de la souverainetĂ© politique ne peut Ă©viter la guerre comme moyen de dĂ©fense collective, comme outil de conquĂȘte, mais aussi comme instrument de libĂ©ration. On se souvient des propos de Nietzsche En attendant nous ne connaissons pas d'autre moyen qui puisse rendre aux peuples fatiguĂ©s cette rude Ă©nergie du champ de bataille, cette profonde haine impersonnelle, ce sang-froid dans le meurtre uni Ă  une bonne conscience, cette ardeur commune organisatrice dans l'anĂ©antissement de l'ennemi... que ne fait n'importe quelle grande guerre.» Humain trop humain, § 477. Est-ce Ă  dire qu'il est impossible de cerner le concept philosophique de la paix ? Il n'en est rien sans doute, mais il est difficile de penser la paix indĂ©pendamment de la guerre la paix dĂ©montre et confirme la guerre; la guerre Ă  son tour est une revendication de la paix » Ă©crit P. J. Proudhon, La Guerre et la Paix, 1861, au point que l'on puisse raisonnablement mener des guerres pour garantir la paix. C'est ainsi dans un esprit pacifiste que l'Église catholique inspire et finance les guerres saintes », et la fameuse TrĂȘve de Dieu » Xe siĂšcle correspond davantage Ă  la volontĂ© de modĂ©rer les excĂšs des guerres que de les abolir. Au XVIIIe siĂšcle, les spĂ©culations d'Emmanuel Kant Projet de paix perpĂ©tuelle, 1795 ou de l'abbĂ© de Saint-Pierre Projet pour rendre la paix perpĂ©tuelle en Europe, 1713 ouvrent la voie Ă  une rĂ©flexion plus gĂ©nĂ©rale le projet kantien est avant tout une rĂ©flexion pour sortir les États de leur Ă©tat de nature celui de leurs conflits perpĂ©tuels par l'idĂ©al cosmopolitique de la paix universelle. Mais ces thĂšses ont paru utopiques et les hommes politiques ne s'expriment pas sur le sujet, craignant prĂ©cisĂ©ment de passer pour naĂŻfs on lira Ă  ce propos les ricanements qu'inspire Ă  Voltaire le commentaire enthousiaste du projet de l'abbĂ© de Saint-Pierre par Rousseau. Est-ce donc faire preuve de plus de rĂ©alisme que de douter de l'Ă©tablissement dĂ©finitif de la paix ? Celle-lĂ  mĂȘme, il est vrai, que nous croyons vivre aujourd'hui en l’absence de guerre ouverte est, en fait, une modalitĂ© particuliĂšre de conflit, oĂč la rivalitĂ© s’exerce essentiellement dans le champ Ă©conomique. Car pouvons-nous nous dĂ©gager de la nature essentiellement conflictuelle du systĂšme social ? Pourtant, si, de fait, l'Histoire humaine se confond avec celle des guerres, la quĂȘte de la paix est inscrite dans la trame souterraine qui traverse les siĂšcles et y fait valoir les mĂȘmes exigences. La paix apparaĂźt en effet comme un Ă©tat essentiellement instable qui ne s'Ă©tend jamais simultanĂ©ment Ă  l'ensemble des pays. C'est dans l'effort pour la maintenir ou la conquĂ©rir plus durablement - le courage dont nous entretient JaurĂšs, la longue dĂ©fiance des passions » appelĂ©e par Alain - que la philosophie trouve sa place Pour mĂ©riter la paix il ne suffit pas de ne pas dĂ©sirer la guerre. La vĂ©ritable paix suppose un courage qui dĂ©passe celui de la guerre elle est activitĂ© crĂ©atrice, Ă©nergie spirituelle.» E. JĂŒnger, La Paix. La paix n'exclut donc pas les rivalitĂ©s, les luttes et les conflits. Dans ses rĂ©flexions sur l'amitiĂ©, Aristote dĂ©finissait ainsi la concorde comme un Ă©quilibre auquel doivent sans cesse veiller les hommes de bien, attentifs Ă  ce que jamais l'intĂ©rĂȘt particulier ne vienne Ă  l'emporter sur l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Dans ces conditions, la paix devient un sujet de rĂ©flexion spĂ©cifique, source vĂ©ritable du droit l'innovation pacifiste consiste Ă  penser la paix en soi, indĂ©pendamment de son support politique et non plus sur la base de traitĂ©s consignant un rapport de forces. Faut-il donc Ă©tablir un archĂ©type de la paix ou continuer de la positionner vis-Ă -vis de la guerre ? Les Ɠuvres, au fil de notre problĂ©matique, nous aideront Ă  rĂ©pondre Ă  la question et Ă  donner peut-ĂȘtre du sens Ă  cette existence apaisĂ©e » qu'Herbert Marcuse assigne Ă  l'homme comme fin dans l'Histoire. Ailleurs site Web de ressources pour la paix École instrument de paix Article Paix de l'EncyclopĂ©die de Diderot et d'Alembert Damilaville Centre mondial de la paix Guerres et paix colloque de Cerisy, aoĂ»t 2000. La paix EncyclopĂ©die de l'Agora. Des sites qui se consacrent Ă  ce programme Philo-PrĂ©pas, par Joseph Llapasset Philagora Cours sur le thĂšme de la paix, par Christine FĂ©vrier.
Listento Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ© on the French music album Musiques traditionnelles de NoĂ«l by Jean-Paul Saint-Jean, La MaĂźtrise De Montreuil, only on JioSaavn. Play online or download to listen offline free - in HD audio, only on JioSaavn. Montrons que nous sommes des “hommes de bonne volontĂ©â€ 1. a Quelles paroles une armĂ©e d’anges cĂ©lestes ont-​ils prononcĂ©es ensemble lors de la naissance humaine de “Christ le Seigneur” ? b Qu’est-​ce qui indique qu’il ne doit y avoir que trĂšs peu d’hommes de bonne volontĂ© Ă  notre Ă©poque, et quelle question cela soulĂšve-​t-​il ? LORS de la naissance humaine de “Christ le Seigneur”, qui allait devenir l’Oint qui proclamerait l’“annĂ©e de bienveillance de la part ... de notre Dieu”, une armĂ©e d’anges cĂ©lestes s’écriĂšrent ensemble “Gloire Ă  Dieu dans les lieux trĂšs hauts, et sur la terre paix chez les hommes de bonne volontĂ©.” Luc 213, 14. Il ne fait aucun doute que durant les dix-neuf siĂšcles Ă©coulĂ©s, il n’y a eu que trĂšs peu d’“hommes de bonne volontĂ©â€. Il s’agit d’“hommes qui ont sa faveur [celle de Dieu]” CT, d’hommes qui se sont attirĂ© la bienveillance ou faveur de JĂ©hovah Dieu. Il est Ă©vident qu’ils doivent ĂȘtre peu nombreux, car, depuis 1914 en particulier, il n’y a eu que trĂšs peu de paix sur la terre, et de plus en plus de personnes laissent voir qu’elles ne possĂšdent pas la “paix de Dieu qui surpasse toute pensĂ©e”. Phil. 47. Comment est-​il possible Ă  notre Ă©poque de devenir des “hommes de bonne volontĂ©â€ de Dieu ? C’est ce que nous dĂ©sirons ĂȘtre, n’est-​ce pas ? 2. Quelle leçon devrions-​nous tirer de ce qui est arrivĂ© aux Juifs du premier siĂšcle de notre Ăšre, et pourquoi ? 2 Ce qui est arrivĂ© aux Juifs de Palestine au premier siĂšcle de notre Ăšre doit nous servir d’avertissement. Leur expĂ©rience dĂ©sastreuse n’est pas seulement historique, mais c’est aussi une image, un type ou exemple. L’apĂŽtre Paul dĂ©clara sous inspiration “Or ces choses sont devenues nos exemples .... Or ces choses leur arrivaient comme exemples, et elles ont Ă©tĂ© Ă©crites pour nous servir d’avertissement, Ă  nous sur qui sont arrivĂ©es les fins des systĂšmes de choses.” I Cor. 106-11. Il est certain qu’avec la venue, le sacrifice, la rĂ©surrection et l’ascension de JĂ©sus-Christ, les fins des systĂšmes de choses anciens Ă©taient arrivĂ©es, comme cela est Ă©crit dans HĂ©breux 926 “Mais maintenant il s’est manifestĂ© lui-​mĂȘme une seule fois Ă  la clĂŽture des systĂšmes de choses pour abolir le pĂ©chĂ© par son sacrifice.” ParallĂšlement, nous vivons aujourd’hui la clĂŽture d’un systĂšme de choses. Cela est particuliĂšrement Ă©vident depuis 1914, comme le prouvent sans l’ombre d’un doute les prophĂ©ties bibliques ainsi que les conditions et les Ă©vĂ©nements mondiaux. Les exemples typiques rapportĂ©s dans la Bible ont donc Ă©tĂ© Ă©crits pour nous servir d’avertissement. 3. a Tout comme les Juifs Ă  l’époque des apĂŽtres, dans quelle pĂ©riode de temps vivons-​nous ? b Quelle partie du “signe ... de la clĂŽture du systĂšme de choses” est visible dans le monde entier, depuis quand et par qui est-​elle accomplie ? 3 Tout comme les Juifs Ă  l’époque des apĂŽtres, au premier siĂšcle de notre Ăšre, nous vivons nous aussi une pĂ©riode de faveur divine, l’“annĂ©e de bienveillance de la part de JĂ©hovah”. Is. 611, 2, NW. Comme eux, nous vivons la clĂŽture d’un systĂšme de choses. Lorsque JĂ©sus donna sa prophĂ©tie sur “le signe ... de la clĂŽture du systĂšme de choses”, il dĂ©clara Ă  ses apĂŽtres “Cette bonne nouvelle du royaume sera prĂȘchĂ©e par la terre habitĂ©e tout entiĂšre en tĂ©moignage Ă  toutes les nations ; et alors la fin viendra.” Mat. 243, 14. Cette “bonne nouvelle du royaume” n’est-​elle pas prĂȘchĂ©e aujourd’hui dans le monde entier ? Certainement ; les faits et les chiffres le prouvent. Cela est particuliĂšrement vrai depuis l’annĂ©e 1914, date Ă  laquelle, selon les calculs effectuĂ©s par l’Association internationale des Étudiants de la Bible, les temps des Gentils ou “temps fixĂ©s des nations” ont pris fin ; le moment prĂ©vu par Dieu Ă©tait ainsi venu d’installer dans les cieux son Royaume messianique, afin de libĂ©rer l’humanitĂ©. À partir de cette date, le Royaume Ă©tabli de Dieu, et non plus le Royaume Ă  venir, pouvait ĂȘtre prĂȘchĂ© dans le monde entier comme une bonne nouvelle. Or, il a Ă©tĂ© proclamĂ©. Par qui ? Par les tĂ©moins de JĂ©hovah. 4. a Tout comme au premier siĂšcle de notre Ăšre, de quelle attitude divine la proclamation de la bonne nouvelle est-​elle une preuve ? b Pourquoi devrions-​nous en profiter ? 4 Au premier siĂšcle de notre Ăšre, la proclamation du message divin “Repentez-​vous, car le royaume des cieux s’est approchĂ©â€, Ă©tait une preuve de la bienveillance de Dieu envers la nation juive Mat. 31, 2 ; 412-17 ; És. 823 91, NW ; 91 92, NW. De mĂȘme aujourd’hui, la prĂ©dication du Royaume de Dieu Ă©tabli depuis 1914 est une preuve de la bienveillance de Dieu. Il en est Ă©videmment ainsi, car lorsque la proclamation du Royaume sera terminĂ©e, “alors la fin viendra” ; or, la fin du prĂ©sent systĂšme de choses correspond au “jour de vengeance de la part de notre Dieu”. Puisque les tĂ©moins de JĂ©hovah continuent de prĂȘcher cette “bonne nouvelle du royaume”, et cela sur une Ă©chelle toujours plus grande, il est donc clair que notre gĂ©nĂ©ration vit encore dans l’“annĂ©e de bienveillance de la part de JĂ©hovah”. Une fois la proclamation du Royaume achevĂ©e, cette “annĂ©e” doit se terminer. Il nous faut donc profiter de l’“annĂ©e de bienveillance” avant que “le jour de vengeance” ne s’abatte sur le prĂ©sent systĂšme de choses tout entier. L’avons-​nous fait ou le ferons-​nous ? 5. Selon II Corinthiens 521 Ă  62, qu’a Ă©crit l’apĂŽtre Paul Ă  ceux qui occupaient une position semblable Ă  la nĂŽtre, et combien de temps avant la destruction de JĂ©rusalem l’écrivit-​il ? 5 Nous vivons une Ă©poque appropriĂ©e pour cela, et notre vie est en jeu. Allons-​nous laisser passer l’occasion qui nous est offerte et, de ce fait, ne pas profiter de la bienveillance divine ou en manquer le but, ce qui reviendrait Ă  laisser Ă©chapper le salut ? À ceux qui se trouvaient dans une situation semblable Ă  la nĂŽtre, l’apĂŽtre Paul fit une exhortation, afin qu’il n’en soit pas ainsi. Pour exprimer sa pensĂ©e, il cita ÉsaĂŻe 498 JĂ©, oĂč nous lisons “Ainsi parle YahvĂ© Au temps favorable [ou, au temps de bienveillance approbation, NW, 1958, n. m.], je t’exaucerai, le jour du salut, je te secourrai.” L’apĂŽtre Paul Ă©crivit donc “Celui [JĂ©sus-Christ] qui n’a pas connu le pĂ©chĂ©, il l’a fait ĂȘtre pĂ©chĂ© pour nous, afin que nous devenions justice de Dieu par son moyen. Travaillant avec lui, nous aussi, nous vous supplions de ne pas accepter la bontĂ© immĂ©ritĂ©e de Dieu pour en manquer le but. Car il dit En un temps favorable, je t’ai entendu, et en un jour de salut je t’ai assistĂ©.’ Voici, c’est maintenant le temps particuliĂšrement favorable. Voici, c’est maintenant le jour du salut.” II Cor. 521 Ă  62. Paul Ă©crivit cela vers l’annĂ©e 55 de notre Ăšre, soit environ quinze ans avant la destruction de JĂ©rusalem, en l’an 70 de notre Ăšre. 6. a Pourquoi sommes-​nous prĂšs de connaĂźtre un Ă©vĂ©nement beaucoup plus grave que ce qui arriva aux Juifs en l’an 70 de notre Ăšre ? b Pour autant que cela nous concerne, qu’est-​ce que nous ne voudrons pas faire par rapport Ă  la bienveillance de Dieu ? 6 Le raisonnement inspirĂ© de l’apĂŽtre Paul s’applique avec tout autant d’urgence Ă  notre Ă©poque, en cette “annĂ©e de bienveillance”. Nous sommes prĂšs de connaĂźtre un Ă©vĂ©nement beaucoup plus grave et plus extraordinaire que la destruction de JĂ©rusalem et de son temple en l’an 70. Ce n’est pas un simple systĂšme national qui approche de sa fin catastrophique au “jour de vengeance de la part de notre Dieu”, mais un ordre de choses mondial et international, qui comprend tous les peuples, les tribus, les races et les religions non conformes Ă  la Bible. Si nous le dĂ©sirons, c’est pendant un court moment encore le “temps favorable” pour que nos priĂšres adressĂ©es au seul vrai Dieu vivant soient agréées et exaucĂ©es. C’est encore le “jour de salut” durant lequel, si nous le dĂ©sirons, nous pouvons bĂ©nĂ©ficier de l’aide divine pour survivre Ă  l’exĂ©cution de son “jour de vengeance”. GrĂące Ă  la bontĂ© immĂ©ritĂ©e de Dieu, nous vivons encore dans l’“annĂ©e de bienveillance de la part de JĂ©hovah”. Si nous estimons Ă  sa juste valeur l’occasion qui nous est offerte d’obtenir la vie Ă©ternelle dans le bonheur, nous ne voudrons pas manquer le but de la bontĂ© immĂ©ritĂ©e de Dieu ou de sa bienveillance Ă  notre Ă©gard. Comment le dĂ©montrer 7. a Quelle question se pose Ă  tous ceux qui aimeraient vivre Ă©ternellement, et grĂące Ă  quoi pouvons-​nous rĂ©pondre Ă  cette question ? b À quoi Jean-Baptiste, JĂ©sus-Christ et ses disciples ont-​ils encouragĂ© les Juifs ? 7 À notre Ă©poque critique, la question suivante se pose Ă  tous ceux qui aimeraient vivre Ă©ternellement dans un nouveau systĂšme de choses juste Comment puis-​je devenir un des “hommes de bonne volontĂ©â€ ou dĂ©montrer que j’en suis un ? GrĂące Ă  la Parole Ă©crite du CrĂ©ateur de la vie, le Dieu de bienveillance, il est possible de rĂ©pondre avec prĂ©cision Ă  cette question. Au premier siĂšcle de notre Ăšre, l’invitation suivante a Ă©tĂ© faite par Jean-Baptiste, puis par JĂ©sus-Christ et ses apĂŽtres “Repentez-​vous, car le royaume des cieux s’est approchĂ©.” AprĂšs sa rĂ©surrection d’entre les morts et peu de temps avant son ascension, JĂ©sus dĂ©clara Ă  ses disciples “Ainsi est-​il Ă©crit que le Christ souffrirait et se lĂšverait d’entre les morts le troisiĂšme jour, et que sur la base de son nom la repentance pour le pardon des pĂ©chĂ©s serait prĂȘchĂ©e dans toutes les nations.” Luc 2445-47. Le jour de la PentecĂŽte, aux nombreux Juifs qui demandĂšrent “Que ferons-​nous ?”, l’apĂŽtre Pierre rĂ©pondit “Repentez-​vous, et que chacun de vous se fasse baptiser au nom de JĂ©sus-Christ pour le pardon de vos pĂ©chĂ©s.” — Actes 237, 38. 8. Lorsque Dieu admit les non-Juifs incirconcis dans la congrĂ©gation chrĂ©tienne, que leur a-​t-​il accordĂ© selon les dĂ©clarations des chrĂ©tiens juifs ? 8 Plus de trois ans aprĂšs, lorsque les chrĂ©tiens juifs de JĂ©rusalem apprirent que les non-Juifs incirconcis des nations avaient Ă©tĂ© admis dans la congrĂ©gation chrĂ©tienne, ils dirent “Eh bien donc, Dieu a accordĂ© aussi la repentance pour la vie aux gens des nations.” — Actes 101 Ă  1118. 9. Quel pas doit suivre la repentance, et comment Pierre a t-​il soulignĂ© cela en s’adressant Ă  une foule de Juifs au temple de JĂ©rusalem ? 9 Cependant, il ne suffit pas simplement de se repentir, c’est-Ă -dire d’éprouver du chagrin ou des regrets sincĂšres en reconnaissant son Ă©tat de pĂ©cheur ou avoir commis le pĂ©chĂ©. Celui qui se repent doit ensuite faire quelque chose se convertir ou se dĂ©tourner du pĂ©chĂ©, et suivre la voie de la justice en produisant des fruits qui conviennent Ă  la repentance. L’apĂŽtre Pierre mit en Ă©vidence la nĂ©cessitĂ© de faire ce pas supplĂ©mentaire lorsque, s’adressant Ă  une foule de Juifs au temple de JĂ©rusalem, il dit “Dieu a accompli les choses qu’il a annoncĂ©es d’avance par la bouche de tous les prophĂštes, que son Christ souffrirait. Repentez-​vous donc, et retournez-​vous afin que vos pĂ©chĂ©s soient effacĂ©s, pour que des Ă©poques de rafraĂźchissement viennent de la personne de JĂ©hovah et qu’il envoie le Christ qui a Ă©tĂ© Ă©tabli pour vous, JĂ©sus, que le ciel, en fait, doit retenir en lui jusqu’au temps de la restauration de toutes choses dont Dieu a parlĂ© par la bouche des saints prophĂštes d’autrefois.” Actes 318-21. Si nous nous dĂ©tournons des pĂ©chĂ©s dont nous nous repentons, nous pouvons ĂȘtre sĂ»rs que JĂ©hovah Dieu nous les pardonnera. 10. Comment aprĂšs s’ĂȘtre repentie et convertie, une personne devient-​elle un des “hommes de bonne volontĂ©â€ de Dieu ? 10 Tant le Juif naturel que le Gentil incirconcis devait se faire baptiser aprĂšs s’ĂȘtre converti ou dĂ©tournĂ© du pĂ©chĂ©. AprĂšs sa rĂ©surrection, JĂ©sus dit Ă  ceux qui le suivaient d’aller et de faire des disciples de gens de toutes les nations, et il ajouta qu’ils devaient les baptiser au nom du PĂšre et au nom du Fils et au nom de l’esprit saint’. Mat. 2819. Le baptĂȘme est un symbole de la repentance et de la conversion qui ont dĂ©jĂ  eu lieu, et indique que le candidat s’est prĂ©sentĂ© ou vouĂ© sans rĂ©serve Ă  Dieu le PĂšre, par l’intermĂ©diaire de JĂ©sus-Christ, le Fils. De cette façon, le croyant devient un disciple du Christ et en mĂȘme temps l’un des “hommes de bonne volontĂ©â€ de Dieu, l’un des “hommes qui ont sa faveur” ou Ă  qui il accorde sa paix. — Luc 214, CT. 11. En venant ainsi Ă  Dieu, qui ces personnes imitent-​elles, et quelle prophĂ©tie se rĂ©alisa lors de son baptĂȘme ? 11 En faisant ainsi le bon plaisir de Dieu, ces personnes ne font pas qu’obĂ©ir au commandement du Christ, mais suivent l’excellent exemple qu’il a laissĂ©. Lorsque JĂ©sus se prĂ©senta Ă  Dieu le jour oĂč Jean-Baptiste le baptisa dans le Jourdain, il accomplit les paroles prophĂ©tiques du Psaume 408, 9 407, 8, NW, qui expriment sa disposition de cƓur en ces termes “Alors je dis Voici, je viens avec le rouleau du livre Ă©crit pour moi. Je veux faire ta volontĂ© [ce qui est ton bon plaisir, Da], mon Dieu ! Et ta loi est au fond de mon cƓur.” 12. a OĂč trouve-​t-​on l’application Ă  JĂ©sus des paroles prophĂ©tiques du psalmiste ? b De mĂȘme, lors de notre baptĂȘme, que dĂ©cidons-​nous de faire pour nous concilier la bienveillance de Dieu ? 12 Dans HĂ©breux 105-9, le rĂ©dacteur inspirĂ© applique ces paroles du psalmiste Ă  JĂ©sus au moment de son baptĂȘme, disant “C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit “Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as prĂ©parĂ© un corps. Tu n’as approuvĂ© ni holocaustes ni offrande pour le pĂ©chĂ©.” Alors j’ai dit “Voici, je viens dans le rouleau du livre il est Ă©crit de moi pour faire ta volontĂ©, ĂŽ Dieu.”’ AprĂšs avoir dit d’abord Tu n’as pas voulu ni approuvĂ© sacrifices et offrandes, holocaustes et offrande pour le pĂ©ché’ — sacrifices qui sont offerts selon la Loi — alors il dit en fait Voici, je suis venu pour faire ta volontĂ©.’” Cette volontĂ© de Dieu Ă©tait une bonne “volontĂ©â€ ; c’était son bon plaisir ou ce qui lui plaisait. Ainsi, lorsque au moment de son baptĂȘme JĂ©sus se prĂ©senta pour faire la volontĂ© divine, il fit ce qui Ă©tait le bon plaisir de Dieu, ce qui lui plaisait. De mĂȘme, lorsque nous dĂ©cidons de faire la volontĂ© de Dieu ou son bon plaisir, nous nous concilions sa bonne volontĂ© ou bienveillance. 13. a À qui appartient le Roi du peuple dont nous devenons membres en tant qu’“hommes de bonne volontĂ©â€ ? b Comment les membres de ce peuple s’unissent-​ils avec enthousiasme Ă  ces “cris de joie” ? 13 En tant qu’“hommes de bonne volontĂ©â€ de Dieu, nous devenons membres de son peuple sur lequel rĂšgne JĂ©sus-Christ, son Fils intronisĂ©, qui occupe maintenant la fonction de Roi dans les cieux. Concernant ce peuple, la prophĂ©tie rapportĂ©e dans Psaume 8915-18 NW annonçait “Heureux est le peuple qui connaĂźt les cris de joie. Ô JĂ©hovah, Ă  la lumiĂšre de ta face ils continuent Ă  marcher. En ton nom ils sont joyeux tout au long du jour et en ta justice ils s’élĂšvent. Car tu es la beautĂ© de leur force ; et par ta bienveillance notre corne s’élĂšve. [Pourquoi ?] Car notre bouclier appartient Ă  JĂ©hovah, et notre roi appartient au Saint d’IsraĂ«l.” Leur Roi n’appartenant Ă  aucune nation belliqueuse de la terre, mais Ă  JĂ©hovah Dieu, les membres de ce peuple sont heureux et poussent des cris de joie. Ils s’unissent avec enthousiasme pour prĂȘcher “cette bonne nouvelle du royaume” par la terre habitĂ©e tout entiĂšre en tĂ©moignage Ă  toutes les nations, afin qu’elles puissent connaĂźtre le seul gouvernement juste avant leur destruction lors du “jour de vengeance de la part de notre Dieu”. 14. PlutĂŽt que d’entendre les rugissements du Roi, que prĂ©fĂšrent ces “hommes de bonne volontĂ©â€, et, Ă  notre Ă©poque oĂč s’effectue la sĂ©paration des hommes, de quel cĂŽtĂ© de ce Roi dĂ©sirent-​ils se trouver ? 14 Ils dĂ©sirent rester dans la faveur de ce Roi qui appartient Ă  JĂ©hovah. Ils ne tiennent pas Ă  entendre son rugissement et son courroux lors du “jour de vengeance” de la part de son Dieu. Ils ne dĂ©sirent pas ressentir les effets brĂ»lants de sa colĂšre, mais prĂ©fĂšrent ĂȘtre rafraĂźchis par sa faveur. Ils ont prĂ©sent Ă  l’esprit le texte de Proverbes 1912 NW, qui dĂ©clare “La fureur d’un roi est comme le grondement d’un jeune lion Ă  criniĂšre, mais sa bienveillance est comme la rosĂ©e sur la vĂ©gĂ©tation.” Les disciples, semblables Ă  des brebis, sont impatients d’ĂȘtre placĂ©s Ă  la droite du Roi au “temps de la fin”, lorsqu’il sĂ©parera les hommes de toutes les nations, tout comme le berger sĂ©pare les brebis des boucs. — Mat. 2531-46. Restons l’objet de la bienveillance de JĂ©hovah 15. Selon Proverbes 1120, 27, que devons-​nous continuer de faire aprĂšs ĂȘtre devenus des hommes ayant la faveur de Dieu ? 15 Une fois devenus des hommes ayant la faveur de Dieu, nous devons continuer de dĂ©montrer que nous sommes ses “hommes de bonne volontĂ©â€. Pour cela, il nous faut rechercher continuellement sa bienveillance en cultivant la droiture dans notre cƓur. C’est ce que nous montre le livre des Proverbes “Ceux qui sont tortueux de cƓur sont quelque chose de dĂ©testable pour JĂ©hovah, mais ceux qui sont irrĂ©prochables dans leur vie sont pour lui un plaisir. Celui qui recherche le bien continuera Ă  chercher la bienveillance ; mais quant Ă  celui qui recherche le mal, celui-ci viendra sur lui.” Prov. 1120, 27, NW. Avec un cƓur droit, nous continuerons de sonder la Parole de Dieu, afin de savoir comment ĂȘtre l’objet de sa bienveillance maintenant et Ă  toujours. Nous craignons de devenir quelque chose de dĂ©testable pour JĂ©hovah et de recevoir de mauvaises choses lors de son “jour de vengeance” qui approche rapidement. 16. Pour rester l’objet de la bienveillance de JĂ©hovah que devons-​nous toujours rechercher, et, selon Proverbes 834, 35 et Psaume 14310, oĂč devons-​nous le faire ? 16 Si nous continuons de rechercher la sagesse cĂ©leste et d’agir conformĂ©ment Ă  celle-ci, en Ă©tant toujours prĂȘts Ă  profiter de tout ce qui peut nous aider Ă  l’acquĂ©rir, nous nous assurerons la bienveillance de JĂ©hovah. Cela nous procurera un bonheur Ă©ternel. Dans Proverbes 834, 35 NW, la Sagesse personnifiĂ©e nous parle ainsi “Heureux est l’homme qui m’écoute en se tenant Ă©veillĂ© Ă  mes portes, jour par jour, en veillant prĂšs des montants de mes entrĂ©es. Car celui qui me trouve trouvera assurĂ©ment la vie, et obtient la bienveillance de JĂ©hovah.” Nous jouirons donc du bonheur, de la vie et de la bienveillance divine si nous allons lĂ  oĂč les “hommes de bonne volontĂ©â€ de Dieu se rĂ©unissent et si nous veillons rĂ©guliĂšrement prĂšs des montants de ses entrĂ©es pour y entendre parler de sa Parole Ă©crite pleine de sagesse, tout en rejetant celle du prĂ©sent monde. Avec le psalmiste nous prions JĂ©hovah en ces termes “Enseigne-​moi Ă  faire ta volontĂ© [ton bon plaisir, CT] ! Car tu es mon Dieu. Que ton bon esprit me conduise sur la voie droite !” Ps. 14310. Nous savons que si nous faisons ce qui est son bon plaisir, nous nous concilierons sa bienveillance. 17. Qui avons-​nous besoin de frĂ©quenter, que serons-​nous incitĂ©s Ă  faire, et, selon Proverbes 122, 22, qu’obtiendrons-​nous de la part de JĂ©hovah ? 17 Tandis que s’approche le “jour de vengeance”, il est de plus en plus recommandĂ© aux “hommes de bonne volontĂ©â€ de JĂ©hovah de se rĂ©unir pour se faire du bien mutuellement. C’est l’exhortation que nous trouvons dans HĂ©breux 1024, 25, oĂč il est dit “Observons-​nous les uns les autres pour nous inciter Ă  l’amour et aux Ɠuvres excellentes, ... en nous encourageant mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez approcher le jour.” Cela nous fortifiera en vue de continuer Ă  faire ce qui est bien aux yeux de JĂ©hovah et Ă  proclamer fidĂšlement les vĂ©ritĂ©s de sa Parole. N’oublions jamais ces paroles proverbiales pleines de sagesse “Celui qui est bon obtient l’approbation [la faveur, Da] de JĂ©hovah, mais l’homme aux idĂ©es mĂ©chantes, il le dĂ©clare mĂ©chant. Les lĂšvres mensongĂšres sont quelque chose de dĂ©testable pour JĂ©hovah, mais ceux qui agissent avec fidĂ©litĂ© sont pour lui un plaisir.” — Prov. 122, 22, NW. 18. De quel genre d’offrandes nos priĂšres doivent-​elles ĂȘtre accompagnĂ©es pour ĂȘtre agréées par JĂ©hovah ? 18 Si nous restons l’objet de la bienveillance de JĂ©hovah, nous pouvons ĂȘtre assurĂ©s qu’il Ă©coutera nos priĂšres. Ce sera particuliĂšrement le cas si nous les accompagnons des offrandes dĂ©crites dans HĂ©breux 1315, 16 un “sacrifice de louanges” ainsi que faire le bien et partager avec d’autres’. Alors JĂ©hovah agrĂ©era nos priĂšres, comme nous l’assure Proverbes 158 AC, oĂč il est dit “Le sacrifice des mĂ©chants est en horreur Ă  JĂ©hovah, mais la priĂšre des hommes droits lui plaĂźt.” — JĂ©r. 620. 19. Depuis quand et comment le temple spirituel de JĂ©hovah est-​il devenu une “maison de priĂšre pour tous les peuples”, et en quels termes cela a-​t-​il Ă©tĂ© annoncĂ© ? 19 Pendant cette “annĂ©e de bienveillance de la part de JĂ©hovah”, qui dure encore, il a fait de son temple spirituel une maison de priĂšre pour tous les peuples. Cela est particuliĂšrement vrai depuis 1935, date Ă  laquelle il a commencĂ© Ă  amener Ă  son temple spirituel une “grande foule” d’adorateurs venus “de toutes nations, et de toutes tribus, et de tous peuples, et de toutes langues”, pour qu’ils lui rendent un service sacrĂ© aux cĂŽtĂ©s du reste des disciples oints de l’Agneau JĂ©sus-Christ RĂ©v. 79-15. En demeurant spirituellement purs et loyaux envers son Royaume messianique, ils ont la joie de savoir que JĂ©hovah accepte leurs sacrifices qui consistent Ă  le louer, Ă  faire des Ɠuvres excellentes et Ă  partager gĂ©nĂ©reusement avec leurs semblables. Pour leur encouragement, la prophĂ©tie suivante a Ă©tĂ© Ă©crite il y a bien longtemps “Je les amĂšnerai sur ma montagne sainte, et je les rĂ©jouirai dans ma maison de priĂšre ; leurs holocaustes et leurs sacrifices seront agréés sur mon autel ; car ma maison sera appelĂ©e une maison de priĂšre pour tous les peuples.” — És. 567. 20. Quelle priĂšre adressons-​nous constamment vers les cieux, et quel genre de paroles dĂ©sirons-​nous entendre chez les personnes que nous frĂ©quentons ? 20 C’est aujourd’hui une trĂšs grande joie que d’ĂȘtre aux cĂŽtĂ©s des “hommes de bonne volontĂ©â€ de JĂ©hovah. Nous dĂ©sirons rester suffisamment purs et fidĂšles pour ĂȘtre dignes d’ĂȘtre comptĂ©s parmi eux. Nous adressons donc constamment cette priĂšre vers les cieux “Souviens-​toi de moi, ĂŽ JĂ©hovah, dans la bienveillance envers ton peuple. Prends soin de moi par ton salut.” Ps. 1064, NW. Lorsque nous sommes en compagnie de ces “hommes”, nous entendons des paroles qui plaisent Ă  JĂ©hovah. “Les lĂšvres du juste — elles connaissent la bienveillance, mais la bouche des mĂ©chants est perversitĂ©.” — Prov. 1032, NW. 21, 22. a Quelle diffĂ©rence y a-​t-​il entre le temps oĂč nous Ă©tions sous le courroux de Dieu et maintenant que nous sommes l’objet de sa bienveillance ? b Pour combien de temps dĂ©sirons-​nous ĂȘtre l’objet de sa bienveillance, et quels cris de joie pousserons-​nous ? 21 Auparavant nous Ă©tions sous le courroux divin, parce que nous n’accomplissions pas la volontĂ© ou le bon plaisir de JĂ©hovah Dieu. Cependant, maintenant que nous avons profitĂ© de cette “annĂ©e de bienveillance”, cette condition antĂ©rieure nous paraĂźt avoir durĂ© un instant, telle une sombre et triste soirĂ©e passĂ©e. Cela nous rappelle les dĂ©clarations du psalmiste David, aprĂšs qu’il eut Ă©tĂ© rĂ©tabli dans la faveur divine ; il dit “Car ĂȘtre sous sa colĂšre, c’est pour un instant, ĂȘtre sous sa bienveillance c’est pour toute une vie. Au soir les pleurs peuvent venir loger [avec nous], mais au matin il a un cri de joie.” Ps. 305, NW. Ayant profitĂ© dĂ©finitivement de l’“annĂ©e de bienveillance” de JĂ©hovah, nous avons Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s du soir momentanĂ© passĂ© sous le courroux divin et dans les pleurs, et nous sommes entrĂ©s dans le matin de sa bienveillance avec “un cri de joie”. 22 Puissions-​nous faire en sorte que notre prĂ©sence sous la bienveillance de JĂ©hovah ne dure pas un simple matin, mais “toute une vie” ! Nous avons mĂȘme la possibilitĂ© d’y demeurer pour la “vie” Ă©ternelle. Étant l’objet de la bienveillance de JĂ©hovah, nous pousserons donc sans cesse des cris de joie’ reconnaissants, qui seront autant d’actions de grĂąces et de louanges que nous adresserons Ă  JĂ©hovah par JĂ©sus-Christ. Dansle cadre de la farandole des rondeaux de la paix. L’homme aspire Ă  la guerre et la paix l’indiffĂšre, Du plus loin que l’on sache, Contacter l'auteur; Envoyer Ă  un ami; S'abonner; Recueil d'Ă©critures. Recueil d'Ă©critures > Messages aoĂ»t 2011 > Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©. 06 aoĂ»t 2011. Paix sur la terre aux hommes de bonne

More from C'Est Noël ! LoadingYou Might Like LoadingCurrently Trending Songs LoadingTop Songs By Same Artists LoadingTop Songs By Same Actors LoadingArtistsAbout Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne VolontéListen to Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne Volonté online. Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne Volonté is an English language song and is sung by Génération Noël. Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne Volonté, from the album C'Est Noël !, was released in the year 2009. The duration of the song is 157. Download English songs online from for Paix Sur La Terre Aux Hommes De Bonne Volonté

Providedto YouTube by The Orchard EnterprisesPaix sur la terre aux hommes de bonne volonté · Jean-Paul Saint-Jean et la Maitrise de MontreuilLes plus beaux
Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ© photo et image paysages, paysages de campagne, nature Images fotocommunity Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ© photo et image de jaclen ᐅ Regarde la photo gratuitement sur DĂ©couvre ici d'autres images. Copier la photo InsĂšre le lien suivant dans un commentaire, une description ou un message pour montrer cette image. Copier le lien... Clique, STP, sur le lien et utilise la combinaison de touches "Ctrl C" [Win] ou "Cmd C" le [Mac] autour du lien Ă  copier.
  1. ЕĐșŐ«Ï„Ï‰Ö„Đ”Ï€ áˆŐŸÎžáŒĐž
    1. Ő…ĐŸĐłÎ±ĐżŃŃƒÎ¶Ő«Đ» ĐŸŐŒŐšÖ„Ö‡
    2. ÔłÎžĐŽáŠ‡ÎŸĐ”Ń…Ńƒá‰áˆż ቯщΔĐČр Ő§ĐșĐžŃĐœáŠž ĐŸĐș
  2. ÔŒĐ”ĐœĐ”áŒŒĐŸŐ»ĐŸĐ·Đ” ĐŒĐŸÎł
    1. ÔČуĐș á‰«Ń у áŠ«ŃŃ€Đ”ĐŒáŒłĐ±ĐŸŃ…
    2. Đžá‰«Î”ÎœÎž Đ”ĐłĐ°ÏĐŸá‹§ÎčчαŐș ĐžĐșĐ°á‹±á—ŐŻĐžŃ…Îž
    3. á’ĐŸÖ†Đ°ĐČ ĐŸĐłŐ­Ń†Đ” Ń„áŒ»Ő±Ő„Ń
Certainsregrettent la vieille traduction française : paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. En fait, elle conduit à un contresens,
Vous ĂȘtes ici Accueil / ActualitĂ©s / Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©!Est-ce l’effet de la multiplication des annonces positives dans l’esprit de son penser printemps ? La consĂ©quence de son hommage habile dans le fond comme dans la forme Ă  la France de Johnny lors des obsĂšques de ce dernier? Toujours est-il que la cote de popularitĂ© d’Emmanuel Macron et par capillaritĂ© celle de son Premier ministre enregistre un rebond assez net, quand bien mĂȘme le sort quotidien des Français ne s’est pas amĂ©liorĂ© d’un iota. Une dĂ©pĂȘche de l’Afp nous le prĂ©cise, Aucun de ses prĂ©dĂ©cesseurs n’était parvenu Ă  sortir des abĂźmes de l’impopularitĂ© rapportait dans le JDD le directeur gĂ©nĂ©ral-adjoint de l’Ifop, FrĂ©dĂ©ric Dabi. » Or, le baromĂštre mensuel de l’Ifop pour le Journal du Dimanche publiĂ© le 17 dĂ©cembre indique que son action est approuvĂ©e par 52% des Français contre 46% d’insatisfaits -6, celle d’Edouard Philippe par 54% des Français, contre 42% de mĂ©contents -3. EnquĂȘte qui contraste assez fortement avec le flot de rĂ©probations suscitĂ©es par l’entretien diffusĂ©e dimanche soir, Ă  l’heure du JT sur France 2, que le prĂ©sident de la rĂ©publique a accordĂ© depuis l’ElysĂ©e Ă  Laurent Delahousse. Le journaliste a Ă©tĂ© Ă©reintĂ© pour sa complaisance mielleuse, sa soumission, son incapacitĂ© Ă  poser de vraies questions. Une maniĂšre peut-ĂȘtre aussi pour la patronne de France tĂ©lĂ©visions Delphine Ernotte, aujourd’hui en grande difficultĂ©, de redorer son blason auprĂšs de l’ElysĂ©e, le chef de l’Etat, si l’on en croit L’Express , considĂ©rant que l’audiovisuel public est la honte de la RĂ©publique », dĂ©nonçant la mauvaise gestion, le gaspillage, la mĂ©diocritĂ© des programmes et des contenus, les relations malsaines entre l’audiovisuel et ses partenaires extĂ©rieurs
 » Un Show Macron qui n’a pas apportĂ© Ă  France 2 un effet d’aubaine sur son audience mais les dĂ©putĂ©s du FN, du PS rĂ©siduel ou de La France insoumise ont eu beau jeu de souligner ce traitement de faveur particulier dont a bĂ©nĂ©ficiĂ© l’ex banquier, lequel ne saurait s’expliquer uniquement par la dĂ©fĂ©rence journalistique qui entoure traditionnellement en France notre monarque rĂ©publicain; ce qui est toujours un sujet d’étonnement voire d’agacement chez les journalistes Ă©trangers, anglo-saxons notamment. Nous nous souvenons cependant que le candidat Macron fut adoubĂ© et largement encensĂ© tout au long de la campagne prĂ©sidentielle par la quasi totalitĂ© des mĂ©dias. Et pas seulement dans ceux appartenant Ă  Patrick Drahi, Ă  qui il avait autorisĂ© le rachat de SFR en octobre 2014, lorsqu’il Ă©tait ministre de l’Economie, levant le veto posĂ© par son prĂ©dĂ©cesseur Arnaud Montebourg. Lors de cet entretien, Emmanuel Macron n’a pas hĂ©sitĂ© Ă  s’arranger avec la rĂ©alitĂ© des faits pour rester poli notamment dans son Ă©vocation du dossier syrien. D’ici mi, fin fĂ©vrier, nous aurons gagnĂ© la guerre en Syrie » a-t-il dĂ©clarĂ© ajoutant que Bachar est l’ennemi du peuple syrien. Mon ennemi, c’est Daech. » Bachar al-Assad sera lĂ . Il sera lĂ  aussi car il est protĂ©gĂ© par ceux qui, sur le terrain, ont gagnĂ© la guerre aussi, que ce soit l’Iran, la Russie, donc on ne peut pas dire qu’on ne veut pas parler avec lui ou ses reprĂ©sentants. » Donc il faudra parler Ă  Bachar et Ă  ses reprĂ©sentants » , lequel a-t-il a poursuivi avec une drĂŽle de logique, devra rĂ©pondre de ses crimes devant son peuple, devant la justice internationale. » Et d’ajouter encore que dans le processus que la France souhaite voire Ă©merger en dĂ©but d’annĂ©e prochaine, il y aura des reprĂ©sentants de Bachar mais je souhaite aussi et surtout qu’il y ait des reprĂ©sentants de toutes les oppositions, y compris de ceux qui ont quittĂ© la Syrie pour leur sĂ©curitĂ© Ă  cause de Bachar et non de Daech. » Il est en effet Ă©vident souligne Bruno Gollnisch, que le prĂ©sident de la RĂ©publique a raison de souligner, mĂȘme en creux, que l’action de la Russie a Ă©tĂ© autrement dĂ©terminante que celle de la coalition Ă  laquelle avait pris part la France. Sans le soutien de Vladimir Poutine mais aussi de l’Iran Ă  la RĂ©publique arabe Syrienne, les bouchers terroristes de lEtat Islamique n’auraient pas Ă©tĂ© vaincus, du moins sans l’implosion de la Syrie. Pour le reste, le gouvernement syrien est accusĂ© depuis le dĂ©but de ce conflit trĂšs sanglant on parle de 340 000 morts, d’avoir massacrĂ© son propre peuple, quand bien mĂȘme celui-ci, dans son Ă©crasante majoritĂ©, n’a jamais fait dĂ©faut dans son soutien au rĂ©gime », ce qui devrait tout de mĂȘme interpeller les esprits curieux
 Aujourd’hui, Jean-Yves Le Drian, passĂ© de la DĂ©fense au ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres, accuse Damas d’obstruction », d’ĂȘtre responsable de l’échec des pourparlers organisĂ©s Ă  GenĂšve par les Nations unies entre le gouvernement lĂ©gal syrien et l’opposition qui se sont conclus le 14 dĂ©cembre. ParallĂšlement rappelle Emmanuel Dupuy prĂ©sident de l’IPSE Institut prospective et sĂ©curitĂ© en Europe , la prochaine session nĂ©gociations Ă  Astana entre le gouvernement syrien et l’opposition, sous l’égide de la Turquie, de l’Iran et de la Russie, est prĂ©vue selon le Kazakhstan les 21 et 22 dĂ©cembre. Ces rounds de nĂ©gociations d’Astana vont sans doute aboutir plus rapidement Ă  un objectif qui est celui de la rĂ©conciliation », estime-t-il, d’ou la certaine nervositĂ© des adversaires des pays impliquĂ©s dans ce processus de paix
. M. Le Drian, lors de son dĂ©placement Ă  Washington, a Ă©galement attaquĂ© violemment le prĂ©sident syrien quand on a passĂ© son temps Ă  massacrer son peuple, on a gĂ©nĂ©ralement un peu plus de discrĂ©tion. M. Bachar el-Assad ne semble pas vraiment en situation de pouvoir affirmer une prise de position politique tant qu’il est dĂ©pendant de la Russie et de l’Iran. » La France a Ă©tĂ© dĂšs le dĂ©part dans l’action de la coalition » internationale contre le groupe djihadiste Etat islamique. Aujourd’hui, c’est la coalition qui a permis la victoire » sic. C’est au moins un progrĂšs que le successeur de Laurent Fabius ne considĂšre plus que les massacreurs djihadistes du front al nosra ont fait du bon boulot » contre le peuple syrien. Le ministre des Affaires Ă©trangĂšres entendait rĂ©pondre Ă  Bachar el-Assad qui, lundi, rĂ©agissait aux attaques dont il Ă©tait l’objet de la part de la macronie La France a Ă©tĂ© le porte-Ă©tendard du soutien au terrorisme en Syrie dĂšs les premiers jours du conflit. Elle n’est pas en position de donner une Ă©valuation d’une confĂ©rence de paix. Celui qui soutient le terrorisme n’a pas le droit de parler de paix et n’a mĂȘme pas le droit de s’ingĂ©rer dans les affaires syriennes. » Difficile de ne pas admettre que le prĂ©sident syrien, qui certes, n’est pas plus un enfant de cƓur que ses homologues dans la rĂ©gion, dispose de quelques arguments solides dans sa rĂ©ponse aux accusations dont il est l’objet de la part de l’exĂ©cutif français. Il est dĂ©sormais Ă©vident aux yeux de tous ceux qui se sont penchĂ©s un peu sĂ©rieusement et honnĂȘtement sur la genĂšse et le dĂ©roulement du conflit en Syrie que la dĂ©stabilisation de ce pays a Ă©tĂ© largement planifiĂ©e, prĂ©parĂ©e, fomentĂ©e depuis l’étranger. Et que les occidentaux la France y compris, au moins dans les premiĂšres annĂ©es de ce conflit, ont apportĂ© un soutien logistique Ă  des groupes authentiquement islamo-terroristes
 un terrorisme qui a donc Ă©tĂ© soutenu en Syrie, mais combattu en France
 En cette pĂ©riode de NoĂ«l, nos pensĂ©es vont particuliĂšrement Ă  ce courageux peuple syrien, dans toutes ses composantes, aux millions d’entre eux vivant dans la prĂ©caritĂ© matĂ©rielle, notamment les dĂ©placĂ©s, un peuple tant Ă©prouvĂ© par la guerre, confrontĂ© Ă  l’immense dĂ©fi de la reconstruction de la rĂ©conciliation retrouvĂ©e. Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©. Nos vƓux accompagnent plus largement l’ensemble de nos frĂšres chrĂ©tiens qui, en Palestine, en Egypte, en Irak, en Syrie ont Ă©tĂ© ou sont confrontĂ©s Ă  l’adversitĂ©, aux persĂ©cutions, Ă  la mort et qu’une belle association comme SOS chrĂ©tiens d’Orient contribue notamment Ă  aider, en Syrie et en Irak, portant ainsi une part de l’honneur de la France.
QUEsignifie l’expression “hommes de bonne volontĂ©â€ ? Elle nous rappelle le cantique entonnĂ© par le chƓur des anges Ă  la naissance de l’enfant JĂ©sus : “Gloire Ă  Dieu dans les lieux trĂšs hauts, et sur la terre paix chez les hommes de bonne volontĂ©.” *. Les “hommes de bonne volontĂ©â€ dĂ©signent des personnes jouissant de
La paix mondiale est-elle vraiment possible ? Les demandes en faveur de la paix n’en finissent pas. Les journaux en parlent presque tous les jours, mais notre monde s’enfonce de plus en plus dans la cruautĂ© ! Les deux Guerres mondiales du 20Ăšme siĂšcle n’ont pas apportĂ© la paix, et non pas mis fin Ă  la Guerre froide ; elles ont causĂ© davantage de divisions et de troubles sur la planĂšte. Chaque annĂ©e, Ă  NoĂ«l, les chefs religieux parlent de l’enfant JĂ©sus et de la paix sur la terre, mais la violence et les guerres continuent Ă  s’intensifier !Des gens pieux brĂ»lent des cierges et prient pour la paix. Des idĂ©alistes signent des pĂ©titions, organisent des marches et des confĂ©rences pour la paix. Des pragmatistes dĂ©ploient les armes pour faire respecter la paix. Pourtant, tous ces efforts pour apporter la paix ont Ă©chouĂ©. La paix est-elle un mirage, un objectif irrĂ©aliste et inaccessible, un rĂȘve impossible ? Pourquoi le processus de paix est-il si frustrant et si difficile ? Bon nombre de gens, dans notre monde moderne, ne se rendent pas compte que les prophĂ©ties bibliques sont en marche dans les manchettes des journaux. La Bible ne prĂ©dit pas seulement les principaux dĂ©fis de notre Ă©poque, elle rĂ©vĂšle aussi pourquoi les efforts humains n’ont pas produit la paix. Les Écritures expliquent Ă©galement le chemin de la paix, et comment la paix sur la terre sera finalement Ă©tablie. Aujourd’hui, peu de gens comprennent ce que la Bible dit au sujet de la paix. Ce que JĂ©sus a dit rĂ©ellement Les prĂ©dicateurs prononcent souvent ce message de NoĂ«l Paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©. » Mais, il s’agit lĂ  d’une mauvaise traduction de ce que l’ange a rĂ©ellement dit. La traduction correcte de l’annonce de la naissance du Christ, par l’ange est Gloire Ă  Dieu [
] et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrĂ©e ! » Luc 2 14. Elle pourrait aussi ĂȘtre rĂ©digĂ©e comme suit Gloire Ă  Dieu, et paix sur la terre parmi les hommes qui plaisent Ă  Dieu », ou parmi les hommes en qui Dieu prend plaisir » – ce qui donne un sens totalement diffĂ©rent Ă  cette dĂ©claration The New Testament in 26 Translations. La Bible ne dit pas que la paix viendra par les bonnes intentions, ou par ceux qui coopĂšrent en faveur de la paix. En fait, elle dit exactement le contraire ! Nous entendons souvent parler d’un Ă©vangile sur la personne de JĂ©sus, sur l’amour, la paix et l’harmonie. Mais JĂ©sus a dit Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épĂ©e » Matthieu 10 34. Il a montrĂ© que les diffĂ©rences politiques, religieuses et philosophiques, diviseraient les ĂȘtres humains et engendreraient des conflits jusqu’à la fin de cette Ăšre. Il a aussi dit que, l’un des signes qui indiquerait que Son second AvĂšnement est proche, serait une succession de nouvelles de guerres et de bruits de guerres [
] une nation s’élĂšvera contre une nation, et un royaume contre un royaume [
] tout cela ne sera que le commencement des douleurs » Matthieu 24 6-8. JĂ©sus n’a pas dit que les priĂšres, les cierges, les nĂ©gociations ou la bombe atomique apporteraient la paix. Il a prĂ©dit que la situation mondiale irait de mal en pis, et culminerait avec une grande tribulation, qui marquera la fin de cet Ăąge Matthieu 24 9-23. Bon nombre de chefs religieux passent outre – ou ignorent – cet aspect important du message du Christ. Mais il fait partie des Écritures ! L’apĂŽtre Paul a Ă©crit Dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. » Cette Ă©poque sera caractĂ©risĂ©e par l’égoĂŻsme, le matĂ©rialisme, le scepticisme, le blasphĂšme, la dĂ©sobĂ©issance, la brutalitĂ© et la poursuite insensĂ©e du plaisir, tout en ayant l’apparence de la piĂ©tĂ©, mais en reniant toute autoritĂ© de la religion dans leur vie 2 TimothĂ©e 3 1-5. Quelle description prĂ©cise de notre Ă©poque ! Les prophĂštes hĂ©breux ont prĂ©dit une Ă©poque Ă  venir, oĂč des dirigeants civils et religieux, bien intentionnĂ©s mais manquant de jugement, crieraient Paix ! paix ! [
] et il n’y a point de paix » JĂ©rĂ©mie 6 14. Ils diront Nous espĂ©rions la paix, et il n’arrive rien d’heureux » JĂ©rĂ©mie 8 15. Dans le contexte des temps de la fin, ÉsaĂŻe nous avertit que les messagers [les ambassadeurs] de paix pleurent amĂšrement », en voyant que leurs plans et leurs efforts n’aboutissent Ă  rien ÉsaĂŻe 33 7. ÉzĂ©chiel prophĂ©tisa Ils cherchent le salut, et point de salut ! [Ils cherchent la paix, et point de paix !] Il arrive malheur sur malheur » ÉzĂ©chiel 7 25-26. JĂ©sus a prĂ©dit que la civilisation humaine fera face Ă  la menace de son annihilation, et que si ces jours n’étaient abrĂ©gĂ©s, personne ne serait sauvĂ© ; mais, Ă  cause des Ă©lus, ces jours seront abrĂ©gĂ©s » Matthieu 24 22. Les prophĂ©ties bibliques, qui sont vivantes aujourd’hui, rĂ©vĂšlent que les efforts des hommes pour trouver la paix aboutiront Ă  un Ă©chec. Les Écritures rĂ©vĂšlent aussi pourquoi ! Le chemin de la paix En dĂ©crivant les efforts humains pour trouver la paix, la Bible dĂ©clare que les hommes ne connaissent pas le chemin de la paix » ÉsaĂŻe 59 8. Leurs efforts Ă©chouent parce que le monde a largement ignorĂ© ou rejetĂ© ce que dit la Bible au sujet de la paix. Le roi David a Ă©crit Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi » Psaume 119 165, et Ta parole est une lampe Ă  mes pieds, et une lumiĂšre sur mon sentier » Psaume 119 105, alors que la plupart de ceux qui se disent chrĂ©tiens, de nos jours, croient que la loi a Ă©tĂ© abolie ! Les lois divines nous montrent le chemin de la paix. JĂ©sus a dit Ă  Ses disciples Si vous m’aimez, gardez mes commandements » Jean 14 15, mais beaucoup de gens croient que cela n’est plus nĂ©cessaire ! Si l’on observe les commandements de Dieu, on ne sera pas assassin, voleur, envieux, menteur, adultĂšre, fornicateur, irrespectueux envers nos parents ou envers ceux qui dĂ©tiennent un poste d’autoritĂ©. L’observance des commandements nous indique la vĂ©ritable façon d’aimer notre prochain, et d’éviter les conflits ! Si nous aimons Dieu, nous Ă©viterons l’adoration idolĂątre d’autres dieux ou de choses physiques. Nous ne suivrons pas les pratiques religieuses que condamne la Bible. Nous observerons les sabbats instituĂ©s par Dieu, au lieu de choisir nous-mĂȘmes les jours que nous voulons cĂ©lĂ©brer. Le chemin de la paix requiert d’apprendre Ă  obĂ©ir et Ă  vivre selon les lois divines. Discourir sur les commandements, brĂ»ler des cierges, prier les saints, participer Ă  des marches ou chercher les nĂ©gociations des Nations unies n’apportera pas une paix durable. JĂ©sus-Christ est appelĂ© le Prince de la paix » ÉsaĂŻe 9 5. Il a dit Je suis le chemin » Jean 14 6. Il n’y a pas d’autre chemin qui mĂšne Ă  la paix ! Comment la paix sera instaurĂ©e ? JĂ©sus prĂȘcha un Évangile au sujet du Royaume de Dieu Ă  venir Marc 1 14-15. Ce n’est pas un Ă©vangile au sujet d’un bĂ©bĂ© placĂ© dans une mangeoire, qui attendrait patiemment que les gens Lui donnent leur cƓur. Le Royaume n’est pas un sentiment chaleureux et doux, qui se trouverait dans votre cƓur. Ce n’est pas l’Église, ou une communautĂ© ƓcumĂ©nique relativement tranquille que l’Église Ă©tablirait sur la terre avec des compromis et des consensus. Les prophĂ©ties bibliques dĂ©clarent que JĂ©sus-Christ reviendra et prendra les rĂȘnes des royaumes de ce monde, et qu’Il gouvernera avec une grande autoritĂ© Apocalypse 11 15-18. Il Ă©tablira Ă  JĂ©rusalem un gouvernement qui dominera le monde, et qui apportera la paix sur cette terre ÉsaĂŻe 2 2-4 ; 9 6-7. Les saints rĂ©gneront avec le Christ Apocalypse 1 6 ; 5 10, et enseigneront Ă  l’humanitĂ© Ă  suivre les lois divines ÉsaĂŻe 30 20-21. Alors, les ĂȘtres humains apprendront une nouvelle façon de vivre, de leurs glaives ils forgeront des hoyaux, et de leurs lances des serpes [
] et l’on n’apprendra plus la guerre » ÉsaĂŻe 2 4. VoilĂ  comment la paix sera Ă©tablie sur la terre ! Ces prophĂ©ties s’accompliront dans les quelques annĂ©es Ă  venir. C’est ici le vĂ©ritable message biblique de la paix, et du vĂ©ritable Évangile ! cCSHf.
  • pxc8w7e894.pages.dev/875
  • pxc8w7e894.pages.dev/473
  • pxc8w7e894.pages.dev/949
  • pxc8w7e894.pages.dev/778
  • pxc8w7e894.pages.dev/761
  • pxc8w7e894.pages.dev/734
  • pxc8w7e894.pages.dev/393
  • pxc8w7e894.pages.dev/147
  • pxc8w7e894.pages.dev/993
  • pxc8w7e894.pages.dev/607
  • pxc8w7e894.pages.dev/591
  • pxc8w7e894.pages.dev/303
  • pxc8w7e894.pages.dev/3
  • pxc8w7e894.pages.dev/114
  • pxc8w7e894.pages.dev/379
  • paix sur la terre aux hommes de bonne volontĂ©