Sujet Le microbe n'est rien, et le terrain est tout ! Lun 28 AoĂ» 2006, 10:07 am Mon cher lecteur, Les bourses s’enfoncent dans la crise sous couvert de coronavirus. Elles doublent leurs pertes d’hier Ă  Wall Street avec -7,5% pour le Dow Jones et -6% pour le S&P500. La volatilitĂ© s’envole aujourd’hui VIX laissant s’installer un climat baissier
 MalgrĂ© les dĂ©clarations plus qu’ultra-accomodantes des banques centrales. Et je maintiens mon analyse d’un point de vue Ă©conomique, le coronavirus n’est qu’ un rĂ©vĂ©lateur des faiblesses de nos Ă©conomies et plus gĂ©nĂ©ralement de nos sociĂ©tĂ©s. Quelle n’a pas Ă©tĂ© ma surprise en dĂ©couvrant aujourd’hui ce texte remarquable de Xavier Bazin C’est Ă  mon avis la meilleure analyse sur le danger rĂ©el du virus et Xavier Bazin y dĂ©veloppe la thĂšse du Dr BĂ©champ, contemporain de Pasteur qui dĂźt de lui BĂ©champ avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Le terrain ? Xavier Bazin explique avec une grande clartĂ© que la santĂ© gĂ©nĂ©rale d’une population le terrain importe sans doute plus que le virus lui-mĂȘme ce n’est pas pour rien que la grippe espagnole sĂ©vit Ă  la fin de la PremiĂšre Guerre mondiale sur des populations affaiblies par la guerre et ses privations. Ce n’est pas non plus pour rien que le coronavirus est bien plus lĂ©tal sur les Chinois Ă  majoritĂ© fumeurs et trĂšs exposĂ©s Ă  la pollution que dans le reste du monde. Le virus rĂ©vĂšle au niveau microscopique les faiblesses de notre organisme comme il rĂ©vĂšle les faiblesses de nos sociĂ©tĂ©s au niveau macroscopique et Ă©conomique. L’épidĂ©miologiste Luc PĂ©rino souligne dailleurs que Un virus n’a pas intĂ©rĂȘt Ă  tuer son hĂŽte car, en le tuant, il disparaĂźt aussi. Les mĂ©dias, qui ne s’intĂ©ressent qu’aux pics, ne parlent plus du Sras ni du Mers, mais ils sont toujours actifs. » Nous avons donc des raisons sĂ©rieuses de ne pas surestimer l’ampleur de cette crise. Et pensez bien que ce que je vous dis, les autoritĂ©s le savent encore mieux que moi. Alors pourquoi cet emballement mĂ©diatique et ce soudain dĂ©crochage boursier ? Les signaux sont nets, il y a de la panique au sommet panique politique Ă  Paris la passe d’arme entre Buzin et Hidalgo sur le virus est plus que dĂ©plorable, panique Ă©conomique et panique monĂ©taire. C’est que nous sommes extraordinairement fragiles sur tous ces plans. Nos sociĂ©tĂ©s ne font plus corps ». Nos Ă©conomies n’ont plus aucune rĂ©silience et nos monnaies ne sont plus que des totems qui ne tiennent qu’à la facilitĂ© et Ă  l’aveuglement collectif. Je lisais hier dans Les Échos que l’Europe tente d’endiguer la crise sans rĂ©tablir de contrĂŽles aux frontiĂšres » suivi immĂ©diatement de cette phrase les EuropĂ©ens tentent de s’organiser sans cĂ©der Ă  la panique ». Quel Ă©trange parallĂšle entre le contrĂŽle aux frontiĂšres » et la panique ». Le mĂȘme raisonnement a Ă©tĂ© tenu il n’y a pas si longtemps avec la peste porcine lorsque l’OMC a interdit les embargos sanitaires sur la viande de porc. RĂ©sultat, un quart du cheptel mondial de porc a dĂ» ĂȘtre abattu crĂ©ant une pĂ©nurie de protĂ©ines qui s’installe pour longtemps le prix du porc en France a bondi de 50% alors que nous n’avons pas Ă©tĂ© touchĂ©s. Je ne doute pas de la difficultĂ© Ă  apporter la bonne rĂ©ponse Ă  la crise du coronavirus et je ne doute pas non plus de notre Ă©chec si nous restons aveuglĂ©s d’idĂ©ologie nĂ©olibĂ©rale au dĂ©triment de l’efficacitĂ© et de la luciditĂ©. AprĂšs tout, rĂ©tablir des contrĂŽles aux frontiĂšres n’a rien de scandaleux et l’on pourrait bien se souvenir de certaines vertus oubliĂ©es de cet exercice fondamental de notre souverainetĂ©. C’est peut-ĂȘtre cela qu’ils craignent. Nous pourrions estimer collectivement que le coronavirus n’est pas diffĂ©rent de la grippe saisonniĂšre et ne rien changer Ă  nos habitudes. Nous pourrions au contraire choisir de prendre des mesures de prĂ©cautions et nous protĂ©ger prĂ©ventivement. Je ne crois pas qu’un choix soit meilleur que l’autre ou en tout cas, que nous ayons les Ă©lĂ©ments pour trancher avec certitude. Mais quelle Ă©trange façon de laisser nos frontiĂšres ouvertes tout en laissant s’installer un climat mĂ©diatique si anxiogĂšne nous avons le pire des deux choix mais de choix nous n’en avons eu aucun tant nos dirigeants ont perdu pied avec la rĂ©alitĂ©. Nous observons dans cette crise un bouquet de rĂ©actions pathologiques qui accompagnent gĂ©nĂ©ralement les grandes crises sanitaires de notre histoire par exemple la grande peste de 1720 Ă  Marseille. Notre chance est que le coronavirus ne soit pas plus mortel. Notre malheur est que nous ne sachions rĂ©agir face Ă  ce risque
 Alors que cette partie, elle, est entre nos mains. Face Ă  l’effondrement de nos structures politiques et sociales, le salut de l’investisseur se trouve dans le local et l’inaltĂ©rable, dans l’investissement de proximitĂ© et dans l’or, qui sont deux piliers de longue date de Risque & Profit que je vous invite Ă  dĂ©couvrir en cliquant ICI. À votre bonne fortune, Guy de La Fortelle

Lacitation complĂšte est « Le microbe n’est rien, le terrain est tout » – Louis Pasteur. (Patrick Huet n’est pas l’auteur de la citation, mais juste le crĂ©ateur de cette image et de sa prĂ©sentation.) *** Cette citation-Image est

Contenu principal Recherche Pied de page Billet de blog 26 nov. 2015 Ce n’est pas facile, toujours le silence se heurte au dĂ©sir de le rompre. On ne va pas trop pas assez en terrasse, alors on lit et voit passer les rĂ©flexions, les analyses. Certaines font vraiment du bien, on finit par entendre des choses. Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. Ce n’est pas facile, toujours le silence se heurte au dĂ©sir de le rompre. On ne va pas trop pas assez en terrasse, alors on lit et voit passer les rĂ©flexions, les analyses. Certaines font vraiment du bien, on finit par entendre des choses. Qu’on assiste Ă  une islamisation de la radicalitĂ© Roy, que les jeunes qui portent une violence comme dans les annĂ©es 70 certains voulaient violemment en dĂ©coudre sont des produits d’époque, ont choisi la marque Da’ech qui proposait la plus grande violence Liogiet, se radicalisent en chambre dans un contexte d’exclusion sociale Khosrokhavar, que le rĂ©cit Da’ech fonctionne auprĂšs de jeunes qui ne font pas groupe, l’endoctrinement est individualisĂ©, parfois il est trĂšs kitch, les garçons en chevaliers et les filles en princesses de chevaliers Salmon. DerriĂšre ce pauvre rĂ©cit il y en a un grand, qui nous fiche des frissons celui de l’apocalypse, de la fin des temps. Nos gosses, quelques-uns de nos gosses sont attirĂ©s par le rĂ©cit catastrophique de la fin des temps, ça nous fiche des frissons. AttirĂ©s par les rĂ©cits de la fin des temps, il n’y a pas que certains de nos gosses. C’est un ressort de fiction sensationnel, la fin des temps. J’ai notĂ© lister et lire les premiers rĂ©cits d’apocalypse. Lire.Certains de nos enfants, nĂ©s en France ou en Belgique de parents nĂ©s au Maghreb ou nĂ©s en France de parents nĂ©s en France et qu’on appelle affreusement de souche », sont plus qu’attirĂ©s par les rĂ©cits de fin du monde qui leur proposent une place, un rĂŽle ils y vont, ils vont y jouer, jusqu’à la mort. Rentrer dans un rĂ©cit, c’est vivre d’imaginaire, c’est ce que nous faisons tous, c’est notre chance et c’est notre plaisir, c’est le partage du sensible » RanciĂšre, je me prends pour - puis trĂšs vite la chance d’empathie devient un poison, je me prends pour un palestinien, pour un arabe sunnite du Moyen-Orient dont l’intervention amĂ©ricaine en Irak a fait un paria Benraad, la fiction prend toute la place, jadis nous Ă©tions deux, moi ici et l’autre lĂ -bas avec qui je communique, dans la peau de qui je peux me dĂ©placer pour sentir avec lui, nous Ă©tions deux et nous naviguions, je tirais de cette expĂ©rience d’imagination plus d’humanitĂ©, de la comprĂ©hension, je mettais en oeuvre des choses concrĂštes, dans le lieu le pays, le quartier oĂč j’étais, puis je suis devenu lui, bien sĂ»r c’est la chronologie en moins, je deviens lui, je suis plus royaliste que le roi, comme toujours, la violence a trouvĂ© son chemin, le chemin me permet de faire d’une pierre plein de coups. Ce coup-lĂ  je suis ailleurs. C’est virtuel d’abord et ça ne l’est plus. Bon sang, combien de rĂ©volte, quel besoin d’actions avant que. Combien de temps passĂ© Ă  tenter de contrĂŽler ses pulsions Ă  se les interdire, Ă  les rendre coupables, Ă  activer un sur-moi plein de haine avant que. Et comme elles font retour, les pulsions, et avec quelle puissance. J’ai notĂ© combien, en France, compte-t-on de radicalisĂ©s ? La population des jeunes de 18 Ă  30 ans, en France, origines des parents confondues, quel chiffre ? J’ai imaginĂ© que la proportion, que je n’ai pas cherchĂ© Ă  Ă©tablir, me semblerait, nous semblerait ridicule. Ce qui ne dĂ©dramatise rien. Puis, juste Ă  la suite, j’ai notĂ© aux grands rassemblements que la COP21 attendait en ses marges, combien de jeunes, engagĂ©s non pas autour d’un dĂ©sir de fin du monde mais au contraire autour de celui de prĂ©server le monde commun qu’ils vivent et veulent vivre, avaient-ils dĂ©cidĂ© de se retrouver ? Comme j’habite en un lieu d’ex frontiĂšre Shenghen et que l’ex frontiĂšre est redevenue frontiĂšre, je fais l’expĂ©rience d’une circulation trĂšs dense d’un cĂŽtĂ© et de l’autre c’est que les contrĂŽles sont de nouveau actifs. Hier soir je rĂ©pondais Ă  la question de mon fils c’est qu’ils cherchent le jeune gars qui s’est Ă©chappĂ© aprĂšs avoir balancĂ© sa ceinture d’explosifs dans la poubelle de Montrouge. Non, me rĂ©pondait notre ami. C’est pour Ă©viter que des mouvements d’extrĂȘme gauche - notre ami a l’ñge de l’extrĂȘme gauche plus que celui de l’ultra-gauche - ne dĂ©barquent Ă  la COP21. C’est un blocage prĂ©vu bien avant les attentats. Au retour, dans la voiture bloquĂ©e dans les embouteillages et aprĂšs que nous avons allumĂ© puis Ă©teint la radio, mon fils a dit quel dommage que les gars qui s’embarquent dans ces violences-lĂ , qui ont tant d’énergie, ne se battent pas contre les multinationales, le capitalisme sauvage, la mort annoncĂ©e de la planĂšte.Que le goĂ»t de la fiction est une chance qui tourne poison, que l’empathie ou la capacitĂ© d’imagination peut parfois, quand on est salement manipulĂ©, donner le pire, ou donner des Ă©tats d’esprit bien tristes, on a du mal Ă  graduer l’horreur, on le voit ailleurs. Dans un village que les vagues ou flots ou flux migratoires n’atteint pas, les craindre pourtant, se sentir envahis - c’est ce qui explique le nombre de votants FN dans les campagnes, les gens qui votent sont pourvus d’imagination, d’un imaginaire qui se contente de ce qu’on lui donne parce qu’on croit qu’il veut cette pauvretĂ©-lĂ , ou parce qu’on croit qu’il ne peut rien recevoir ou comprendre d’autre que cette pauvretĂ©-lĂ .J’ai notĂ© surtout ne commence pas Ă  faire la liste de toutes les raisons pour lesquelles les mĂ©dia nous vendent comme ils le font le FN, depuis, je dirais, une vingtaine d’annĂ©es. Ne commence pas, parce qu’en fait il n’y a pas de raisons, il n’y a pas une cause, aucun projet lĂ -dedans, on suit un penchant, une pente, sans doute la pente de la facilitĂ©, d’une facilitĂ©. Que la capacitĂ© d’imagination, quand elle rencontre la difficultĂ© Ă  faire groupe, Ă  ĂȘtre avec les autres sans parler des autres-diffĂ©rents, non, mais des autres-camarades, de classe, de boulot, de quartier, que la capacitĂ© d’imagination, quand on est seul, sans lien, dĂ©rape, nous Ă©chappe, nous fasse un peu fous, on le devine. Il est difficile d’ĂȘtre reliĂ©, liĂ© aux autres aux autres-mĂȘmes, aux camarades de classe, de boulot, et aux autres-autres. C’est vrai, c’est difficile. Les centres-villes se vident ouvrent les centres commerciaux et ferment les boutiques, les villages sont habitĂ©s par les nĂ©o-ruraux qui s’occupent de leur jardin et de leur voiture, ne prennent pas les transports en commun car il n’y en a pas souvent et n’attendent pas Ă  la poste parce que le bureau de poste est fermĂ©. J’ai notĂ© ne parle pas de l’école, pas encore du moins parce qu’il faudrait alors faire long, trĂšs long. La capacitĂ© d’imagination, quand elle dĂ©bouche sur des engagements mortifĂšres comme celui de certains de nos gosses en Syrie, comme celui de l’adhĂ©sion aux thĂšses du FN, a dĂ» longuement chercher Ă  se raccrocher Ă  quelque chose, elle avait tant Ă  recevoir et Ă  donner. Tristesse qu’elle n’ait pas rencontrĂ© mieux et attention, ici, prĂ©ciser que zut, elle avait de quoi rencontrer mieux, individuellement on peut toujours rencontrer mieux et on est responsable aussi de qui on rencontre, de quoi on rencontre. Un peu comme dans la vie amoureuse. Tu avais tant Ă  donner et Ă  recevoir que celui ou celle qui est venue pleurer qu’il avait besoin de toi et de toi exclusivement pour respirer, tu n’y as pas rĂ©sistĂ© et tu t’es retrouvĂ©e sous l’emprise psychique de quelqu’un que plus tard tu as pu nommer pervers ? Mais ce n’est pas fichu, tu apprends des rencontres et tu la soignes, peu Ă  peu, l’imagination cavaleuse qui fait fi du rĂ©el. Non ? Dans la vie amoureuse tu l’avoueras facilement, ce n’est pas fichu, rien n’est jamais fichu. Est-ce qu’on peut dire la mĂȘme chose des engagements qui te mĂšnent sur le terrain d’une guerre de conquĂȘte avec idĂ©ologies dĂ©gueulasses d’exclusion totale et de haine de soi ? Est-ce qu’on peut dire pareil des engagements que tu as pris, seul dans ta chambre, de ces engagements qui te mĂšnent Ă  croire au diable et Ă  le voir devant toi, qui deviens quelque chose comme ça aussi, diable, l’envers du diable, l’autre absolu ? Est-ce que tu peux faire marche arriĂšre et accepter qu’on te fasse d’autres propositions ? Qu’on ouvre un autre chemin Ă  ton besoin de 
 De quoi ? Ton besoin de danger ? Je poursuis la comparaison. Dans le choix amoureux passionnel, ce que tout le monde comprend, tant de rĂ©cits nous en sont proposĂ©s, il est Ă©vident que c’est par un excĂšs de vie de joie, d’enthousiasme, de capacitĂ© Ă  donner et recevoir qu’on peut choisir la mort, du moins l’enfer. Voir ceci ; comment dans les choix dingues de certains de nos gosses, la dĂ©sespĂ©rance ils vont tuer et ils vont mourir va de pair avec un Ă©lan de vie une Ă©nergie incroyable. J’ai notĂ© y revenir.Ce n’est pas facile de ne pas ĂȘtre seul. On parle toujours de lien, de lien social mais non, ça ne va pas de soi, parfois on ne sait pas comment on fait pour ĂȘtre dans un groupe. Il faut ne pas avoir honte, il faut accepter de ne pas tout comprendre, il faut faire le clown, il faut ne pas faire le clown, il faut supporter l’ennui, il faut avoir des choses Ă  dire, il faut penser quelque chose sur chacun des sujets, etc. Pour qui, en rĂ©alitĂ©, est-ce facile, d’ĂȘtre dans un groupe ? Et puis il y a la fin de la journĂ©e, les enfants sont couchĂ©s, il pleut, on a bien le dĂ©sir d’aller Ă  cette rĂ©union, de faire quelque chose avec et pour les autres - on est fatiguĂ©, on ne sait pas s’y prendre. J’ai fui les commentaires d’aprĂšs le 13 novembre. Ceux du quartier, ceux de la rumeur des villes et villages, ceux qu’on lit derriĂšre les articles des journaux. Je les craignais. J’ai choisi ce que je lisais, j’ai fui, volontairement, les terrasses et les rĂ©seaux. Puis le silence et ma surditĂ© ont pris fin ; ils ont pris fin grĂące Ă  une parole d’enfant, une parole d’enfant de 11 ans, une enfant de 6Ăšme, c’était plus fort qu’elle, la parole de l’enfant a jailli en plein cours, hors propos il ne faut pas dire islamistes, Madame. comment il faut dire ?il faut dire terroristes, c’est tout. Parce que dans islamistes on entend islam et c’est dĂ©gueulasse pour l’ la classe, personne ne l’a contredite, pour les enfants ce jour-lĂ , dans cette classe-lĂ , ça avait l’air clair, il y avait terroristes d’un cĂŽtĂ© et l’histoire d’un Dieu, quel qu’il soit, de l’autre cĂŽtĂ©. J’ai Ă©tĂ© Ă©mue, j’ai Ă©tĂ© rassurĂ©e. Bien sĂ»r l’état d’urgence permettait de mettre en place des mesures injustes qui risquaient d’envenimer les choses dans le sens que craignait la petite fille, la confusion, l’amalgame comme on n’arrĂȘtait pas d’entendre le dire plus et plus pour ne pas le craindre et donc ne pas le voir venir, bien sĂ»r les contrĂŽles au faciĂšs on ne pouvait mĂȘme plus les critiquer, bien sĂ»r les villes pouvaient devenir de plus en plus vides et la solitude, avec ses Ă©lans d’imaginations qui ne demandent qu’à galoper, qui galopent dans le vide de la toile, d’endoctrinement en endoctrinement, de plus en plus lourde. Mais j’ai Ă©tĂ© un peu rassurĂ©e. Et je suis sortie de chez moi. J’ai notĂ© le coeur du sujet, le coeur du sujet - mais je ne pouvais pas, j’avais une tristesse de plus, une inavouable, une inaudible, j’y viendrai, allons, allons, tu tournes autour, c’est vraiment, je me disais, ton imagination Ă  toi, galopante, une de solitude, qui ne fait pas autant de mal que d’autres, elle m’a frappĂ©e lĂ , au coeur, au coeur du sujet, vas-y, on verra, je peux pas, pas tout de suite. Je suis sortie de chez moi parce que j’étais invitĂ©e dans un lieu emblĂ©matique, on dira. Un lieu qui a de la gueule, qui nous renvoie Ă  une idĂ©e de l’accueil, de l’hospitalitĂ©, de la culture. Un lieu qui n’a plus rien Ă  prouver parce qu’il a tout prouvĂ©, il a fait, il a Ă©tĂ© au coeur de la pensĂ©e et de la fabrication d’objets bien bons Ă  partager. Un lieu hors solitude, hors de la solitude dont on parlait. Un lieu qu’ont connu les parents de ceux de ma gĂ©nĂ©ration. Puis ceux de ma gĂ©nĂ©ration. Puis ceux de la gĂ©nĂ©ration d’aprĂšs. Il compte encore, ce lieu. Je crois, du moins. Je croyais, du moins. On n’y faisait pas n’importe quoi, aprĂšs les attentats du 13 novembre, on n’y faisait pas n’importe quoi mais ça n’avait aucune sorte de rapport avec les attentats du 13 novembre. C’était dans le cadre du festival Migrants scĂšne, le festival de la Cimade, on allait parler de parcours migratoires, d’accueil des rĂ©fugiĂ©s. On n’avait pas encore entendu le premier ministre sur la question, heureusement ; le festival Ă©tait prĂ©vu de longue date, c’était une belle chose j’étais de plus en plus rassurĂ©e que le dĂ©bat prĂ©vu soit maintenu, en mĂȘme temps il n’y avait aucune raison pour qu’il ne le soit pas, on parlait de personnes fuyant la guerre, celle que mĂšne Da’ech mais pas seulement, on parlait du monde comme il nous est, comme il nous est commun ou pas, comme il nous sera, on Ă©tait Ă  quelques semaines de la COP21 et on parlait des prĂ©sents et des futurs rĂ©fugiĂ©s climatiques, on expliquait les parcours migratoires, on avait le dĂ©sir que les gens prĂ©sents, nombreux, imaginent moins ce qu’on leur donne Ă  imaginer mais imaginent mieux, sachent. Soudain la maĂźtresse du lieu emblĂ©matique, en maĂźtresse emblĂ©matique des lieux, interrompit l’intervention. Nous n’étions que gauchistes Ă  cause du discours de qui on en Ă©tait oĂč on en Ă©tait. On ne pouvait pas faire comme si rien ne s’était passĂ©. On ne pouvait pas faire comme si depuis vingt ans on n’avait pas renoncĂ© Ă  la laĂŻcitĂ©, comme si on n’avait pas cĂ©dĂ© sur le communautarisme. On avait ne pouvait pas faire comme si le problĂšme Ă©tait qu’on ne pouvait pas ne pas manger hallal si on voulait ne pas manger hallal. On ne pouvait plus entendre ce discours de perroquets militants que nous Ă©tions alors que nous Ă©tions attaquĂ©s comme nous l’étions. Bref, la maitresse des lieux Ă©tant la maitresse des lieux et son oeuvre et sa biographie magnifiques comme elles l’étaient, personne ne put vraiment rĂ©pliquer, bien que chacun tenta de le faire. Que le problĂšme n’était pas le communautarisme. Que la laĂŻcitĂ© avait Ă©tĂ© pensĂ©e Ă  un moment de notre histoire et qu’elle pouvait bien ĂȘtre repensĂ©e avec des amĂ©nagements, parce que nous ne vivions pas au XIXĂšme siĂšcle. Que oui, beaucoup de choses sont nĂ©gociables. Que la solitude et l’imagination. Que les jeunes qui ont commis les attentats sont nĂ©s en France et en Belgique. Que nous Ă©tions invitĂ©s Ă  parler de migrations. Que. Etc. J’étais sortie de chez rentrais chez moi, comme aprĂšs un combat de boxe, rouĂ©e de coups. Je n’arrivais plus Ă  traduire Ovide. Je lisais Le chevalier de maison-rouge. Sur la route du retour, j’avais entendu, au hasard d’une conversation amicale, autre chose. Je n’avais pas voulu savoir. Je recommençais, avec la surditĂ©. J’avais entendu d’ailleurs, dans la mĂȘme conversation amicale, les 41% d’intention de vote du FN. Mon fils avait dit alors c’est bizarre, Ă  20% tu pleurais toutes les larmes de ton corps et lĂ  non, tu pleures plus ? J’avais entendu autre chose, je l’avais un peu oubliĂ© parce que je n’osais pas l’entendre pour de bon, je me censurais. C’est revenu. J’avais entendu qu’à l’AssemblĂ©e Nationale, on avait applaudi l’annonce de la mort d’Abdelhamid Abaoud. J’avais entendu des mots forts, fermes, on souhaitait la mort des monstres, des barbares terroristes responsables des 130 morts parisiens. On voulait Ă©radiquer, frapper, se dĂ©barrasser, etc. Bien sĂ»r par la violence verbale on exorcisait l’horreur vĂ©cue, le traumatisme. Le monde qu’on aimait, terrasses, sports, musiques. Nous. Nous-mĂȘmes, notre plus intime, l’intime de ceux qui savent Ă  peu prĂšs mais ce n’est pas si facile ne pas ĂȘtre seuls, trouver le lien, faire du lien, vivre avec les autres proches et les autres-autres, on Ă©tait infiniment choquĂ©s et donc on voulait Ă©radiquer, pas seulement une idĂ©ologie, pas seulement on voulait en finir avec da’esh, on voulait en finir avec l’idĂ©e qu’il y avait de l’humain derriĂšre les jeunes qui prennent les armes et mitraillent de sang froid une foule qui Ă©coute de la musique ou boit un verre en terrasse. On en finissait avec l’humain, on disait monstre, barbare. Il y a plein de façons de sortir quelqu’un de l’humanitĂ©. On peut refuser de voir son corps enterrĂ©. On peut le traquer Ă  mort. On peut lui trancher la tĂȘte. On peut faire exploser son corps, le dĂ©chiqueter. Pour tirer sur les jeunes qui font la fĂȘte il fallait bien qu’Abdelhamid Abaud soit allĂ© loin dans la dĂ©shumanisation de ses victimes et dans la sienne propre, et sans doute imaginait-il trĂšs bien ce qu’il obtint un corps dĂ©composĂ©, qui n’a plus forme de on tient Ă  un fil. On tient chacun Ă  un fil. Si on tombe de l’autre cĂŽtĂ©, parfois dangereusement funambules, peut-on revenir ? Qui le sait ? A-t-on des exemples ? On tient Ă  un fil. Les maniĂšres de revenir Ă  l’humanitĂ©, c’est Ă  dire de retrouver l’équilibre entre toi et moi, l’autre et moi, un imaginaire de bonne distance, existent-elles quand on a basculĂ© ? Je n’en sais rien. Je voudrais savoir. Je me sens concernĂ©e par cette question, infiniment. J’ai notĂ© pourquoi mais pourquoi cette obsession, question devenue principale, alors que, alors que. Si je m’approche d’une rĂ©ponse, elle est intime et comme tout ce qui est si intime elle nous concerne collectivement.De retour chez moi, aprĂšs le silence suivi du dĂ©bat suivi de la violence verbale suivi du silence de nouveau, de retour chez moi, pleurer, pleurer, en cachette. Il y avait un jeune homme en fuite. Il avait Ă©tĂ© loin, il Ă©tait tombĂ© du fil de notre humanitĂ© oĂč nous marchons tous plus ou moins dangereusement, en funambules, il avait basculĂ©. Je pouvais avoir trĂšs peur de lui. Je connaissais, comme tant de monde, des gens qui avaient Ă©chappĂ© Ă  sa folie. Parmi eux, des trĂšs proches. J’avais tremblĂ© une partie de la nuit. Pas tremblĂ© je m’étais dĂ©composĂ©e. J’avais fait une expĂ©rience pas glorieuse rien ne m’intĂ©ressait que de savoir cette nuit-lĂ  si D Ă©tait vivant. J’étais sur un fil, moi aussi. J’avais eu peur et j’aurai encore trĂšs peur de lui et de ceux qui comme lui sont prĂȘts Ă  tout, Ă  regarder une foule comme une foule de morts, dĂ©jĂ . Pourtant je ne savais pas rĂ©pondre Ă  cette question et s’il revenait ? S’il revenait Ă  lui, s’il regrimpait sur ce fil, du cĂŽtĂ© de l’humanitĂ© ? Si je posais la question c’est que, allons, disons-le, c’est incroyablement optimiste, disons mĂȘme qu’il y a quelque chose de presque religieux lĂ -dedans je veux bien, si je posais la question tout en imaginant la traque et comment elle finirait, c’est que je pensais que jamais jamais personne n’est ce qu’il fait, ce qu’il dit, ce qu’il a fait, en tout cas personne personne ne se rĂ©duit Ă  ceci qu’il a fait, a dit, a cru, a pensĂ©. Qu’il y a un quelque chose d’autre et que ce quelque chose d’autre est parfois si loin qu’on n’y croit pas, parfois on peut aller le chercher, parfois c’est tout prĂšs. Je dis que c’est quelque chose que je pensais. En rĂ©alitĂ© c’est plus du cĂŽtĂ© de la croyance. Je l’avais, cette croyance, ok. Mais maintenant ça ne me suffisait pas, je voulais savoir si on peut revenir Ă  soi, retrouver le petit Ă©quilibre d’à peu prĂšs la solitude, la raison, d’à peu prĂšs l’imaginaire, si on peut retrouver un point Ă  peu prĂšs supportable de vie entre soi et les autres - si on peut, comment le peut-on ? Qu’est- ce qui fait qu’on hĂ©site ? Qu’est-ce qui dĂ©clenche le doute ?Le premier doute ? La premiĂšre image ? Qu’est-ce qui fait qu’on hĂ©site au moment mĂȘme du basculement ? C’est une question gĂ©nĂ©rale et elle ne prĂ©sume de rien, pas du tout de ce qu’a pensĂ©, fait, imaginĂ©, voulu ou pas Salah Abelstam. Je pensais qu’on pourrait savoir quelque chose de ça. Je pense qu’on pourra savoir quelque chose de ça. Je pense que c’est infiniment important pour rĂ©agir Ă  ce qui se passe quand certains de nos jeunes, endoctrinĂ©s, tuent d’autres jeunes du mĂȘme Ăąge, de tenter de savoir quelque chose de ça. Important pour comprendre, aprĂšs les phĂ©nomĂšnes d’inhumanitĂ©s dont l’Histoire ne manque pas, ce qui fait qu’on peut, peut-ĂȘtre, revenir Ă  soi. Parce qu’il faut bien qu’on revienne. A condition qu’on ne tue pas Salah Abelstam, Ă  condition qu’il donne Ă  ceux qui le traquent la possibilitĂ© de ne pas le tuer, Ă  condition que ceux qui le traquent soient bien convaincus qu’il n’a pas Ă©tĂ© jugĂ©, pas encore, qu’il n’est pas condamnĂ©, pas encore, on pourra entendre quelqu’un qui s’apprĂȘtait Ă  commettre un acte monstrueux et en savoir plus sur le monstre qu’on est, qu’on est un peu moins, qu’on peut ne plus ĂȘtre. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es À la Une de Mediapart Journal — Politique Sexe, chantage et vidĂ©o l’odieux complot L’entourage du maire Les RĂ©publicains de Saint-Étienne, GaĂ«l Perdriau, a piĂ©gĂ© son premier adjoint centriste Gilles Artigues, ancien dĂ©putĂ©, en le filmant Ă  son insu avec un homme lors d’une soirĂ©e intime, Ă  l’hiver 2014, Ă  Paris. La vidĂ©o est depuis utilisĂ©e pour le faire chanter, selon une enquĂȘte de Mediapart, qui rĂ©vĂšle les coulisses de cette opĂ©ration. Journal — France L’expulsion de l’imam Iquioussen en dĂ©bat devant le Conseil d’État AprĂšs la dĂ©cision du tribunal administratif qui a suspendu l’expulsion de Hassan Iquioussen vers le Maroc, dĂ©but aoĂ»t, le ministĂšre de l’intĂ©rieur a fait appel. L’audience s’est tenue vendredi, et le Conseil d’État doit rendre sa dĂ©cision en dĂ©but de semaine prochaine. Journal — France Quand GĂ©rald Darmanin et Hassan Iquioussen dĂźnaient ensemble Le Conseil d’État se prononce vendredi sur l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen, souhaitĂ©e par le ministre de l’intĂ©rieur. Mediapart a appris qu’avant les municipales de 2014 Ă  Tourcoing, GĂ©rald Darmanin avait tentĂ© de sĂ©duire lors d’une rencontre celui qui avait dĂ©jĂ  tenu les propos antisĂ©mites qui lui sont aujourd’hui reprochĂ©s. Il cherchait Ă  s’attirer les voix des musulmans dans le Nord. Journal — Agriculture Le combat des Ă©leveurs du NdiaĂ«l pour rĂ©cupĂ©rer leurs terres » Dans le nord-ouest du SĂ©nĂ©gal, une coalition de 37 villages proteste depuis dix ans contre l’attribution de 20 000 hectares Ă  une entreprise agroalimentaire. Ce conflit foncier illustre un phĂ©nomĂšne gĂ©nĂ©ralisĂ© sur le continent africain l’accaparement de terres par des multinationales. La sĂ©lection du Club Billet de blog Immigration isoler le ministre de l’IntĂ©rieur Alors que GĂ©rald Darmanin a annoncĂ© sur RTL la prĂ©sentation d’une loi pour lever les rĂ©serves » lĂ©gislatives empĂȘchant l’expulsion du territoire d’étrangers dĂ©linquants, une centaine d'intellectuelles et de militantes appellent Ă  une campagne de mobilisation nationale ». Ils et elles veulent vaincre la politique de calculs rances et de cruautĂ©s dĂ©multipliĂ©es en lui opposant une logique de droits humains et dĂ©mocratiques Ă©galitaires ». par Les invitĂ©s de Mediapart Billet de blog La double peine ne s’assume pas, elle se supprime [REDIFFUSION] Depuis plusieurs jours, le ministre de l’IntĂ©rieur assĂšne des accusations hĂątives, des affirmations approximatives et des contre-vĂ©ritĂ©s, probablement dans le seul but de flatter une certaine partie de l’opinion. Pourtant, c’est bel et bien la double peine qui doit ĂȘtre abolie, et non ses faibles remparts. Billet de blog PrĂ©conisations pour les droits des enfants et adolescents isolĂ©s marocains Alors que le ministĂšre de l'IntĂ©rieur mĂšne une campagne aussi nausĂ©abonde que dangereuse contre les Ă©trangers, qu'ils soient en situation rĂ©guliĂšre ou pas, alors qu'il s'apprĂȘte Ă  dĂ©poser un projet de loi visant Ă  les priver de davantage de droits, SOS Migrants mineurs entend contribuer aux dĂ©bats urgents Ă  mener avant cette nouvelle offensive gouvernementale. Billet de blog Estrosi, toujours aussi fier de dĂ©loger des sans-abris [REDIFFUSION] Le localement tout-puissant maire de Nice est en grande forme aprĂšs avoir fait Ă  Darmanin des recommandations » en matiĂšre d’immigration que n’aurait pas reniĂ©es Le Pen pĂšre dans ses plus belles heures, voilĂ  que, en pleine canicule, il se rengorge d’avoir dĂ©logĂ© de leur campement de fortune des sans-abri vivant dans leurs tentes en plein soleil, sur une jetĂ©e. par Mouais, le journal dubitatif

Episode13 : Le Microbe n'est rien, le terrain est TOUT SĂ©rie Ă©vĂšnement : AU CƒUR DE S.O.I. avec le Dr Ilyes Baghli MĂȘme si, en tant qu'ĂȘtre humain L'ExpĂ©rience du CƓur : Reprend le Pouvoir sur ta VIE - Episode 13 : Le microbe n'est rien, le terrain est TOUT - AU COEUR de S.O.I. -

En cette pĂ©riode troublĂ©e, il est important de se rappeler les paroles d’Antoine BĂ©champ reprises par Pasteur Ă  la fin de sa vie! Le microbe n’est rien, le terrain est tout! ». C’est donc le terrain qu’il va falloir soutenir, afin de l'aider Ă  tous les niveaux. Soutenir le corps. Evidemment, le terrain se renforce quotidiennement grĂące Ă  une bonne hygiĂšne de vie globale, qui allie alimentation, activitĂ© physique et hygiĂšne psycho-Ă©motionnelle ». Mais pour booster ponctuellement notre immunitĂ©, voici quelques pistes essentielles. ★ Vit C Ă  prendre sous forme liposomale de prĂ©fĂ©rence et naturelle acĂ©rola. ★ Vit D3 liquide 1000 UI par jour Ă  partir de 10 ans. ★EchinacĂ©e/sureau/cyprĂšs/astragale en teinture mĂšre, gĂ©lules, EPS Extraits standardisĂ©s de plantes fraĂźches ou Quantis. ★Ex. en prĂ©vention EPS et Quantis. EchinacĂ©e Astragale aa qsp 150 ml ou 200 ml Sureau ou cyprĂšs 1 cuillĂšre Ă  cafĂ© matin et soir dans un verre d’eau. Augmentez jusqu’à 4 cuillĂšres en cas de toux, fiĂšvre etc
. Pour les enfant 1ml par 10kg de poids par jour en prĂ©vention, augmentez Ă  3 ml pendant 7 Ă  10 jours. Eviter chez la femme enceinte. ★ Extrait de pĂ©pins de pamplemousse. ★Chlorure de Mg. 1 sachet de 20g Ă  mĂ©langer Ă  1 litre d’eau, boire 2 verres par jour. ★HomĂ©opathie Arsenicum album 30 ch 5 granules 3 jours de suite, puis 5 granules par semaine. Thymuline 9 ch une unidose ou 10 granules une fois par semaine pendant 1 mois. ★Probiotiques votre intestin reprĂ©sente plus de 70 % de votre immunitĂ©, soignez le ! Soutenir le coeur et l’ñme Pour faire face Ă  cette situation exceptionnelle, pleine de doutes et t’interrogations, durant laquelle la promiscuitĂ© forcĂ©e ne va faire qu’augmenter la tension, nous avons Ă©galement de nombreuses aides Ă  notre disposition ★ Mg marin la base du calme nerveux, entre autres
 ★ Fleurs de Bach Le Rescue reste le remĂšde d’urgence Ă  n’utiliser que ponctuellement. Mais les autres Ă©lixirs peuvent vous aider Mimulus pour une peur identifiĂ©e Aspen pour un sentiment de peur diffus, d’apprĂ©hension. Rock rose peur qui paralyse Red chestnut peur pour ceux qu’on aime White chestnut pour canaliser les pensĂ©es qui reviennent en boucle
 3 gouttes sur la langue plusieurs fois par jour en fonction du ressenti. ★HE en diffusion orange douce, petit grain, mandarine, lavande
 ★Conservez autant que possible une activitĂ© physique, allez au soleil et au contact de la nature au maximum si vous le pouvez!. ★Faites du yoga, de la mĂ©ditation, de la relaxation, de la cohĂ©rence cardiaque. ★Prenez des bains au sel d’Epsom. ★HomĂ©opathie Gelsemium en 30ch3 granules 3 fois par jour pendant quelques jours. ★Faites des choses qui vous font du bien Ă©coutez de la musique, faites une activitĂ© crĂ©ative que vous aimez, jouez avec vos enfants, lisez un livre
Vivez !
Le microbe n'est rien. Le terrain est tout. » Citation de Louis Pasteur ( 1895 à 73 ans) ~ Toux ~ Tout ~ Robe ~ Rien ~ Terrain. Voici une citation pour chacun de ses thÚmes similaires : « Moins j'ai de temps pour tout faire, moins il m'en reste pour ne rien faire. » Citation de Jean Triboulloy dans Site Internet "sos rigolothérapie". ~ Toux ~ Tout ~ Rien ~ Reste ~ Mois ~ Faire ~ Repos
Emma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayEmma Coach NaturoEmma Coach NaturoLe microbe n'est rien, le terrain est toutLe microbe n'est rien, le terrain est tout05min 02/01/202232PlayDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de SophieDescription Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb Description Le microbe n’est rien, le terrain est tout » c’est ce qu’aurait dit Pasteur Ă  la fin de sa vie. En naturopathie, la cause profonde des maladies est l’encrassement du terrain provoquĂ© par une accumulation des dĂ©chets dans l’organisme. Dans ce podcast, je vous explique la notion de terrain et comment avoir un terrain favorable Ă  une bonne santĂ©. Je vous raconte aussi un peu mon vĂ©cu ;Bonne Ă©coute !✹Bilan de vitalitĂ© de 45 minutes offert ✹ Protocole Naturel ImmunitĂ© Ă  tĂ©lĂ©ch arger gratuitement ✹ Instagram ✹ Fb ShareEmbedCopy linkCopy linkYou may also likeToxĂ©mie de l'organismeLes emonctoiresSyndrome de l'intestin irritable tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©rationFatigue chronique, troubles de la thyroĂŻde et digestifs tĂ©moignage de rĂ©gĂ©nĂ©ration de Sophie
LarĂ©alitĂ© est plus prosaĂŻque et moins glorieuse. On ne trouve aucune source pour cette citation si ce n’est le livre du « Dr Ancelet », « Pour en finir avec Pasteur », dans lequel il Ă©crit que Pasteur aurait dit durant les
Vues 1 562 Il y a quelque chose d’absolument stupĂ©fiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! VoilĂ  un homme dont la principale gloire Ă  la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessĂ© et mutilĂ© plus de manifestants que l’ensemble des prĂ©sidents de la RĂ©publique qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se reprĂ©sente Ă  la PrĂ©sidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection rĂ©sulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaĂźtront qu’elle fut rendue possible parce qu’il rĂ©ussit durant son premier mandat Ă  transformer, par touches successives, une dĂ©mocratie en un rĂ©gime autocratique, portant le systĂšme de propagande d’État Ă  un niveau de perfection jamais atteint par ses prĂ©dĂ©cesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquĂ©e reste nĂ©anmoins classique. Elle consiste Ă  A Lobotomiser la population en rĂ©pĂ©tant une information, toujours identique, formatĂ©e et contrĂŽlĂ©e. Elle est reprise en boucle sur les chaĂźnes publiques de radio et de tĂ©lĂ©vision sans oublier les chaĂźnes privĂ©es d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministĂšre de la VĂ©ritĂ© voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le mĂȘme narratif Ă  longueur de journĂ©e. Personne ne peut y Ă©chapper. Bien sĂ»r, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait lĂ  qu’appliquer des mĂ©thodes de lavage des esprits Ă©prouvĂ©es depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait dĂ©jĂ  dans les annĂ©es trente un mensonge rĂ©pĂ©tĂ© 5 fois reste un mensonge, mais rĂ©pĂ©tĂ© 100 devient vĂ©ritĂ© ». B DĂ©velopper des comitĂ©s de censure dĂ©guisĂ©s souvent en comitĂ©s d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommĂ©s. LĂ  encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent Ă  la crĂ©ation dĂšs 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archĂ©type du comitĂ© de censure d’État Ă  la botte du rĂ©gime, son bras armĂ©, chargĂ© d’asservir l’audiovisuel en dĂ©finissant les temps de passage Ă  l’antenne, en infligeant des amendes exorbi­tantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion Ă  tout site qui serait tentĂ© de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non reprĂ©sentatif de la Nation parce qu’élu non dĂ©mocratiquement des lois liberticides visant Ă  bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet Ă  s’autocensurer et Ă  retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journĂ©e sous la menace d’amendes ou d’ĂȘtre privĂ©s du droit de diffusion. La brĂšve liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des mĂ©thodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertĂ©s fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrĂŽle de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du systĂšme de santĂ©, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de rĂ©pression comme l’a montrĂ© la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le rĂ©gime prĂ©serve les apparences d’une dĂ©mocratie puisque des Ă©lections sont organisĂ©es rĂ©guliĂšre­ment 
 sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se rĂ©veiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des annĂ©es le mĂȘme narratif sans rĂ©elle contre information. C’est cela la dĂ©mocrature la majoritĂ© du peuple, lobotomisĂ©e et devenue incapable d’aucun question­nement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisquĂ© le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes
Aujourdhui, je veux te parler en priorité de ton immunité. En naturopathie comme en Ayurvéda, on répÚte souvent "Le microbe n'est rien, le terrain est TOUT." Le terrain ou votre constitution c'est l'état global de votre corps, des liquides interstitiels (ex la lymphe), de votre capacité d'homéostasie, l'équilibre des énergies
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Lemicrobe n’est rien. Le terrain est tout. Louis Pasteur

Coronavirus! «Le microbe n’est rien, le terrain est tout». Sans vouloir minimiser ni le nombre de personnes ayant contractĂ© le virus, ni le nombre de personnes dĂ©cĂ©dĂ©es des suites des ces atteintes pathologiques, j’ai envie de paraphraser le Dr BĂ©champ : «Le virus n’est rien (ou pas grand chose), le terrain est tout».
orĂ  ce jour ,il n’en est rien et,Ă  moins que vous ne vouliez vous substituer aux enquĂȘteurs RĂ©pondre Signaler un abus CrusaderF-8 Il y a 1 jour Le 24/08/2022 Ă  16:08 UDQ5a.
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