Dansce cas, vous ne payerez qu’une seule taxe TV pour les 2 logements. Je ne possĂšde pas de tĂ©lĂ©vision. Je joins Ă  cette lettre les justificatifs de ma situation (photocopie des documents prouvant que vous rentrez dans l'une des situations prĂ©vues pour l'exonĂ©ration) et vous remercie par avance de l'attention que vous prĂȘterez Ă  ma demande.
En France nous avons la SACEM. Vous savez, cet organisme privĂ© et monopolistique qui taxe tous ceux qui diffusent du son en public. En Belgique ils ont la SABAM. Et apparemment ce n’est pas mieux. C’est mĂȘme peut-ĂȘtre pire, si cela est possible. Vous allez voir. Partant du principe qui a dĂ©jĂ  fait sa fortune et sa gloire dans la musique, Ă  savoir faire raquer au nom de la protection des ayant-droits tous ceux qui s’avisent de diffuser des chansons dont elle a la gestion c’est Ă  dire toutes, probablement, la SABAM vient d’avoir une idĂ©e gĂ©niale et absolument lumineuse, de celles dont on se demande comment on n’y a pas pensĂ© plus tĂŽt faire payer les librairies dans lesquelles se font parfois des lectures publiques pour les enfants en vue de leur faire aimer les livres. Vous avez bien lu. C’est The Next Web qui rapporte l’anecdote. Or il se trouve que le rĂ©dacteur du site nĂ©erlandais qui a levĂ© le liĂšvre est justement belge, et qu’une librairie de sa localitĂ© natale, Dilbeek, a Ă©tĂ© visĂ©e par la SABAM prĂ©cisĂ©ment pour ce motif si vous faites des lectures publiques dans votre point de vente, vous devrez vous acquitter d’une taxe de 250 euros par an. RĂ©flexe de survie d’une organisation aux abois, ou cynisme total des dirigeants, doublĂ© d’une rĂ©sistance hors du commun Ă  l’épreuve du ridicule ? Toujours est-il qu’ils ont osĂ©, et que, apparemment, ils assument. Sans dĂ©conner, quand on vous dit que certains seraient prĂȘts Ă  faire payer l’air que nous respirons, avec ce genre de fulgurance nous n’en sommes plus trĂšs loin. Cela Ă©tant, rendons hommage aux initiateurs de cette trouvaille historique quand une poignĂ©e de bureaucrates cupides perd le contact avec la rĂ©alitĂ©, cela donne parfois des effets intĂ©ressants Ă  observer, et nous en sommes quittes au passage pour un bon fou-rire offert ?. LĂ  on tient une piĂšce d’orfĂšvrerie. Vous avez compris le truc si vous rĂ©sidez en Belgique, Ă©vitez de siffler dans la rue un air connu, vous pourriez prendre cher. Évitez aussi les gestes inconsidĂ©rĂ©s, sait-on jamais manquerait plus que Marcel Marceau ait Ă©tĂ© sociĂ©taire Ă  la SABAM
 le site de la SABAM source

PrĂšsde 224 € pour diffuser de la musique. Selon la Sacem, ces courriers ne sont pas des faux. « Si les exploitants de gĂźtes mettent une tĂ©lĂ©vision, radio, lecteur

Souvent un entrepreneur a recours Ă  la musique. Que ce soit pour faire attendre un interlocuteur en salle d'attente, au tĂ©lĂ©phone ou pour apporter un peu plus de gaitĂ© Ă  un moment donnĂ©. Dans une galerie de peinture ou de sculpture, les visiteurs peuvent apprĂ©cier un fond sonore, idem lors d'un rendez-vous chez le coiffeur ou chez l'esthĂ©ticienne. Cependant, si cela a l'air sympathique cela pose le problĂšme du droit d'auteur. Car pour diffuser du Coldplay, du Rolling Stones ou du Rihanna il faut payer une redevance. En France c'est la SACEM qui s'occupe de cela. Cela peut chiffrer chaque annĂ©e et les entrepreneurs ont souvent envie de passer outre. Les alternatives Au niveau lĂ©gal, il n'existe pas beaucoup de solutions d'autant que les employĂ©s de la SACEM sont trĂšs vigilents et prennent souvent les devants. Une alternative est de diffuser des titres trĂšs vieux qui ne rĂ©pondent pas aux critĂšres du droit d'auteur mais passer de la musique classique tout le temps n'est pas forcĂ©ment top. L'autre astuce est d'utiliser des fichiers de musique libre cliquez sur ce lien pour avoir des informations. Sur le site en lien vous allez trouver plein d'astuces pour en tĂ©lĂ©charger de maniĂšre totalement lĂ©gale et avoir ainsi l'opportunitĂ© de diffuser des titres lĂ©galement et gratuitement que ce soit du folk, du blues, de la chanson, du latino, ou du rock. Unqui pour essayer de se faire connaĂźtre Ă  l’extĂ©rieur a dĂ» louer des salles, payer une SACEM qui non seulement n’a jamais cherchĂ© Ă  l’aider mais pire encore, ne respecte pas le
Nous sommes une vingtaine de retraitĂ©s Ă  faire partie d’un club de chant. Devons-nous faire des dĂ©marches auprĂšs de la Sacem pour chanter lors de la fĂȘte de la Musique? Mauricette R., Reclesne 71La rĂ©ponse de la rĂ©dactionLa Sacem sociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique gĂšre les droits dus Ă  ses membres lors de la diffusion de leur oeuvre. Un club de chant doit en principe faire une dĂ©claration et payer des droits avant toute reprĂ©sentation publique. Sauf si l’oeuvre chantĂ©e est tombĂ©e dans le domaine public si l’auteur-compositeur-interprĂšte est dĂ©cĂ©dĂ© depuis plus de soixante-dix ans, ou dans le cas de la fĂȘte de la Musique si la reprĂ©sentation est gratuite. Contactez la Sacem de votre rĂ©gion en appelant au 01 47 15 47 15 ou via le site .
Cesmontants ne s’appliquent Ă©videmment que dans le cas oĂč le podcast diffuse de la musique figurant dans le catalogue de la Sacem. C’est ce que rappelait le 23 janvier la sociĂ©tĂ© de
Strathydra a Ă©crit Je suis en train de lire plein de trucs et c'est juste une grosse escroquerie ce truc Dans les trucs abusĂ© - PassĂ© de la musique dans un lieu publique coiffeur, magasin, etc.. = racket- Tu est boulanger, tu fait ton pain peinard dans ton fournil, t'Ă©coute la radio, et bin si on l'entend du magasin = racket- Chauffeur de taxi, tu Ă©coute de la zik dans ta caisse = racket- Tu met une musique d'attente sur ton standard = racket- etc...Vous avez compris l'idĂ©e. Maintenant quoi qu'est taxĂ© - Radio/webradio = racket- Radio d'information qui ne passe pas de musique style France Culture = racket bin oui y'a des jingles - CD achetĂ© = racket- Musique dont les auteurs sont mort depuis plus de 70 ans donc dans le domaine publique = pas racket? Perdu, vu que ça a Ă©tĂ© enregistrĂ© par des gens "d'aujourd'hui", tu paye des droits voisins - Un bar PMU qui a une tĂ©loche pour Equidia = racket!! si si le pauvre gars paye les droits d'auteurs...Et bien sur si tu Ă©coute une webradio qui diffuse par exemple que de la musique libre, c'est pas Ă  eux de prouver que tu Ă©coute du contenu protĂ©gĂ© par eux mais bien Ă  toi de prouver le c'est juste un gros racket organisĂ© et lĂ©gal... qui Ă  dit que le crime ne payait pas?++ a Ă©crit Sergio a Ă©crit Certainement un mal nĂ©cessaire comme les impĂŽtsMalheureusement, la SACEM est, au final et sous couvert d'un jargon d'administrateur, une sociĂ©tĂ© privĂ©e chargĂ©e d'une mission de "service public". Elle ne sert pas Ă  rĂ©injecter de l'argent dans la culture ou autres aider la crĂ©ation artistique, etc., mais bien Ă  fournir de gros salaires Ă  ses dirigeants et de grosses rĂ©munĂ©rations aux plus gros vendeurs de disques. A ĂȘtre rentable, en les gars de faire le trouble fĂȘte mais ce qui m'agace prodigieusement quand on parle de SACEM sur quelque forum que ce soit c'est qu'Ă  chaque fois on retrouve toujours les mĂȘmes positions caricaturales et souvent non c'est parce que c'est Ă©crit "statut privĂ©" que ça veut forcĂ©ment dire "grosses rĂ©munĂ©rations pour les patrons. Les comptes de la SACEM sont suivis et les adhĂ©rents ont leur mot Ă  dire, surtout avec les rentrĂ©es s' ne dis pas que tout va bien Ă  la SACEM mais en vous lisant, je me suis juste demandĂ© combien d'entre vous en Ă©taient adhĂ©rents et savaient vraiment ce qu'il en Ă©tait... 1 D'abord, c'est le moyen principal, peut-ĂȘtre perfectible certes, donnĂ© Ă  un auteur-compositeur de se faire rĂ©munĂ©rer de son travail. HonnĂȘtement, je ne vois pas comment je pourrais me faire rĂ©munĂ©rer autrement qu'avec la SACEM quand certains de mes morceaux sont diffusĂ©s ou Les droits payĂ©s sont proportionnels au "service rendu" par la musique ; si le spectacle est gratuit, il n'y a pas de droit Ă  payer et il est clair qu'une boĂźte de nuit paiera plus qu'un salon de coiffure. En mĂȘme temps, en tant qu'auteur-compositeur ça ne me paraĂźtrait pas anormal que ce dernier paye un petit quelque chose dont je retoucherais une bonne partie ensuite s'il diffuse ma musique Ă  ses clients. Je ne vois pas oĂč est le problĂšme ! C'est de plus en plus difficile de vivre de sa crĂ©ation alors si en plus on retire ça Ă  un artiste... 3 C'est un bon moyen pour protĂ©ger ses oeuvres. On paye une fois l'adhĂ©sion 115 € pour ce qui me concerne et on protĂšge autant de morceaux qu'on veut. Personnellement, j'ai expĂ©rimentĂ© d'autres moyens que je trouvais soit plus chers soit moins Rien n'oblige un auteur-compositeur de dĂ©poser ses morceaux Ă  la SACEM ; il existe d'autres pour conclure, je n'ai pas eu pour ma part l'impression de me faire arnaquer en adhĂ©rent Ă  la SACEM et quand je participe Ă  des projets oĂč l'on paye des droits SACEM, cela ne me choque pas de verser quelque chose pour la rĂ©munĂ©ration du pourrait certes critiquer quelques points Ă  la SACEM, comme les systĂšme de rĂ©partitions entre artistes pour les droits payĂ©s au forfait, qui est rarement au bĂ©nĂ©fice des "petits" mais globalement je trouve que le systĂšme n'est pas si maintenant que j'ai dit mon point de vue, vous avez le droit de me taper dessus !

Ilest possible de faire de votre résidence secondaire un meublé de tourisme, c'est-à-dire que vous pouvez la mettre en location pour une clientÚle de passage, à son usage exclusif et sur de

La Sacem SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique se prononce pour une augmentation de la redevance pour financer le service public, dans un communiquĂ© publiĂ© mardi, Ă  la veille du dĂ©but du dĂ©bat au SĂ©nat sur le projet de loi concernant l'audiovisuel public. La Sacem encourage vivement les sĂ©nateurs Ă  "maintenir leur position visant Ă  augmenter la redevance audiovisuelle afin de doter le nouveau service public de la tĂ©lĂ©vision d'un financement suffisant et pĂ©renne". Selon Bernard Miyet, prĂ©sident du directoire de la Sacem, la France est le seul pays de l'Union europĂ©enne oĂč le rĂ©ajustement de la redevance a Ă©tĂ© effectuĂ© "Ă  la baisse", puisque son Ă©volution est de "-0,43% en MĂ©tropole" et de "-0,41% pour les dĂ©partements d'outre-mer". La Sacem note que la redevance a Ă©tĂ© réévaluĂ©e de + 8,6% au Royaume Uni entre 2002 et 2008 et de + 43,5% en Autriche dans la mĂȘme pĂ©riode. En SuĂšde, le montant annuel de la redevance s'Ă©lĂšve Ă  210 euros contre 116 euros en France. Selon Bernard Miyet, "l'augmentation de la redevance est une mesure minimum dĂšs lors que l'on souhaite rĂ©ellement sĂ©curiser dans la durĂ©e la rĂ©munĂ©ration des auteurs et compositeurs de musique qui n'ont pour unique ressource que leurs seuls droits d'auteur". La Sacem rappelle que les revenus des auteurs sont directement dĂ©pendants du niveau de ressources des radiodiffuseurs.

Commentfaire pour ne pas payer les droits d’auteur ? Pour ne pas payer la SACEM ou la SPRÉ, certaines webradios font le choix de ne diffuser que de la musique libre de droits. Toutefois, cette musique n’est pas gratuite pour autant.
La SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs et Ă©diteurs de musique envoie depuis quelque temps des courriers rĂ©clamant des droits d’auteur Ă  des particuliers. Les propriĂ©taires qui mettent en location de maniĂšre saisonniĂšre leur bien pourront recevoir un petit courrier provenant de la Sacem leur rĂ©clamant le paiement de droits d’auteur. Cela semble surprenant pourtant c’est bien lĂ©gal. En effet, la Sacem a "pour mission essentielle de collecter les droits d’auteur en France et de les redistribuer aux crĂ©ateurs français et du monde entier. Cette mission est fondamentale pour pĂ©renniser la crĂ©ation et le fonctionnement de la filiĂšre musicale". Et donc elle est en mesure de rĂ©clamer les droits d’auteur aux personnes qui utilisent la diffusion des Ɠuvres. Qui doit payer ? On pourrait penser que les discothĂšques et autres lieux festifs qui diffusent de la musique sont les seuls concernĂ©s mais ce n’est pas le cas. Tous les commerces, entreprises, associations doivent cotiser Ă  la Sacem si de la musique est diffusĂ©e au sein de l’établissement Ă  destination du public. Et les hĂŽtels, les chambres d’hĂŽtes, les gĂźtes ou autres ne sont pas exclus des cotisations du moment oĂč il y a la prĂ©sence d’une tĂ©lĂ© ou mĂȘme d’un radio-rĂ©veil, comme le rapporte France 3. En fait tout type de logement qui est louĂ© de maniĂšre saisonniĂšre et qui est Ă©quipĂ© d’une enceinte connectĂ©e, d’une tĂ©lĂ©, d’une radio
 doit payer les droits Ă  la Sacem. Pour les propriĂ©taires, la cotisation annuelle s’élĂšve Ă  198,01 euros hors taxes, soit 223,97 euros avec les taxes.
Ainsi il faudra s’acquitter d’une redevance variant de 99,38 Euros à 838,23 Euros. A noter : si vous exploitez un restaurant ou un bar à ambiance musicale, vous

Que ce soit pour protĂ©ger ses Ɠuvres ou toucher ses droits d’auteur, tout auteur/compositeur s’est posĂ© Ă  un moment cette question comment s’inscrire Ă  la SACEM ? On va essayer d’y rĂ©pondre. Sachez que vous trouverez aussi un maximum de rĂ©ponses sur le site de la SACEM sur les conditions et les bulletins Ă  remplir ou les dĂ©marches pour adhĂ©rer Ă  la SACEM. Qui peut s’inscrire Ă  la SACEM ? Que vous soyez français ou Ă©trangers, tous les ayants droits des Ɠuvres musicales peuvent adhĂ©rer Ă  la Sacem mĂȘme si cette adhĂ©sion n’est pas obligatoire Les compositeurs, qui crĂ©ent les mĂ©lodies et les grilles d’accord de l’Ɠuvre, indĂ©pendamment d’un genre musical spĂ©cifique ou de l’utilisation de tel ou tel instrument, Les auteurs, qui Ă©crivent les paroles des musiques chantĂ©es, Les arrangeurs musicaux, qui eux adaptent la composition Ă  un genre musical prĂ©cis et dĂ©finissent les parties jouĂ©es par un ensemble d’instruments, Les Ă©diteurs, dont le mĂ©tier est de diffuser de la musique enregistrĂ©e. Si vous ĂȘtes membre d’un groupe, il faut savoir que l’adhĂ©sion Ă  la SACEM est individuelle. Mais vous pourrez prĂ©ciser, Ă  titre informatif, le nom du groupe auquel vous appartenez. Et parallĂšlement vous pouvez demander, s’il est disponible, Ă  dĂ©poser le nom du groupe via ce formulaire. Chaque membre devra donc remplir un dossier d’adhĂ©sion individuelle, mais les Ɠuvres pourront ĂȘtre dĂ©posĂ©es en commun en prĂ©cisant les auteurs/compositeurs et leur pourcentage. Les conditions pour s’inscrire Ă  la SACEM Les conditions pour adhĂ©rer Ă  la SACEM MAJ Ă  l’étĂ© 2018 en tant qu’auteur ou compositeur de musique de variĂ©té» c’est le terme de la SACEM, qui inclue aussi les musiques Ă©lectroniques ont Ă©tĂ© simplifiĂ©es en 2018. Il faut dĂ©sormais 1 – Avoir Ă©crit ou composĂ© au moins 1 Ɠuvre. Avant c’était 5 oeuvres
 2 – Justifier d’un dĂ©but d’exploitation ou commercialisation de cette Ɠuvre A Soit par la diffusion de vos titres sur toutes les plateformes numĂ©riques Spotify, Itunes, Deezer, etc
 via des plateformes comme Zimbalan 35 € pour un album ou autre. B Soit par la mise-en-ligne de votre titre sur Youtube ou Dailymotion, et d’avoir au moins vues. Une impression Ă©cran de la page de votre vidĂ©o suffit comme justificatif. Pensez dans ce cas simplement Ă  protĂ©ger vos titres pendant la pĂ©riode de validation de votre dossier Ă  la SACEM, alors que vos titres sont en ligne sur Youtube. C Soit par la diffusion en public Concert, spectacle, tĂ©lĂ©vision, radio, attente tĂ©lĂ©phonique et autres exĂ©cutions publiques. Il n’y a plus besoin dĂ©sormais d’attendre une pĂ©riode de 6 mois. Vous devez dans ce cas joindre Ă  votre dossier d’admission une attestation de diffusion Ă©tablie par l’organisateur de spectacle, les responsables de radios locales, etc.. D Soit par l’enregistrement de l’oeuvre sur un CD. Vous devez dans ce cas joindre une copie de la jaquette du support du commerce sur laquelle est fait mention du titre de l’Ɠuvre. ConcrĂštement, le fait de presser des CD via un presseur officiel avec SDRM suffit donc pour justifier d’une commercialisation. Pas besoin d’en avoir vendu. Comme vous le voyez, il existe dĂ©sormais 4 façons plus ou moins coĂ»teuses pour s’inscrire Ă  la SACEM. Comment s’inscrire Ă  la SACEM les dĂ©marches ? Une fois que vous remplissez les conditions, vous devez Comment s’inscrire Ă  la SACEM – Condition d’adhĂ©sion. – ComplĂ©ter une demande d’admission, accompagnĂ©e de deux photos d’identitĂ© – Fournir les manuscrits complets texte de vos Ɠuvres et un enregistrement de celles-ci sur CD ou une partition – Remplir pour chacune des Ɠuvres dĂ©posĂ©es un bulletin de dĂ©claration – Fournir les justificatifs d’exploitation de vos Ɠuvres passage radio, spectacle live, etc.. ou le CD commercialisĂ© ». Le bulletin de demande d’admission et les bulletins de dĂ©claration des Ɠuvres sont disponibles auprĂšs de la SACEM 225, avenue Charles de Gaulle – 92 528 Neuilly-sur-Seine CEDEX, dans les antennes SACEM en rĂ©gion et sur le site web Le conseil d’administration de la SACEM Ă©tudie alors votre dossier, et statue sur votre admission. Il faut compter un bon mois selon l’engorgement de leur services
. environ pour le traitement administratif d’un dossier d’admission. Il faut imaginer cela un peu comme la SĂ©cu 😉 Combien coĂ»te l’inscription Ă  la SACEM ? Si vous ĂȘtes auteur ou compositeur, le coĂ»t pour devenir membre de la SACEM est de 154€ 10€ de part de capital social et 144€ de frais d’adhĂ©sion. Si vous ĂȘtes Ă©diteur, cela coĂ»te 532€ 10€ de part de capital social et 522€ de frais d’adhĂ©sion. En Savoir plus – PDF avec les questions/rĂ©ponses les plus frĂ©quentes sur l’adhĂ©sion Ă  la SACEM – Un article trĂšs complet sur les dĂ©marches pour s’inscrire Ă  la SACEM – Pourquoi, quand et comment s’inscrire Ă  la SACEM Contactez le STUDIO MMTP au 07 67 79 54 84 pour discuter de votre projet Composition / Arrangement musical / Ă©criture de paroles

Unedes raisons qui prouve que s’inscrire Ă  la Sacem est non nĂ©gligeable (hormis le fait que l’artiste est rĂ©munĂ©rĂ© pour tout type d’exploitation de son Ɠuvre et qu’il ne laisse pas disparaitre de l’argent qui lui serait en temps normal destinĂ©, ce qui reste la principale raison Ă  mon sens), est que cet organisme se base sur des donnĂ©es concrĂštes reprĂ©sentatives ï»żComment Ă©viter de payer la Sacem je vous explique tout. Pour changer de mes articles habituels, voici une astuce pour ne pas payer la Sacem sous forme de dialogue. MARIE – Bonjour Pierre, comment se passe l’ouverture de ton restaurant en franchise ? PIERRE – Bonjour Marie, tu sais on est un peu aidĂ© par l’enseigne mais au dĂ©but c’est beaucoup de travail, je n’arrĂȘte pas. La rĂ©ussite tu sais c’est sur le long terme. MARIE – Est-ce qu’il faut payer la Sacem Ă  ton avis pour diffuser de la musique ? PIERRE – Oui bien sĂ»r, la Sacem c’est une association je crois. C’est comme les impĂŽts, c’est une taxe et on n’a pas le choix de toute façon. C’est vrai que c’est une peu cher tout de mĂȘme. MARIE – Tu sais je me suis renseignĂ©e. En fait la Sacem c’est une sociĂ©tĂ© civile. Cela n’a rien Ă  voir avec l’Etat ou les impĂŽts mĂȘme s’il y a des obligations lĂ©gales Ă  respecter. Il s’agit d’une sociĂ©tĂ© collective qui gĂšre les droits de plusieurs milliers de compositeurs. Mais le paiement n’est pas du tout obligatoire. PIERRE – Marie si tu me dis que la Sacem n’est pas obligatoire ça m’intĂ©resse. Tu peux m’expliquer ? MARIE – Oui bien sĂ»r Pierre, si tu as 5 petites minutes encore Ă  me consacrer je suis d’accord. Il existe des alternatives Ă  la Sacem pour les restaurant, les magasins ou tout commerce en franchise. Celle que je connais est WebRadioStore C’est un radio libre de droit qui permet de diffuser de la musique et d’éviter de payer la Sacem. Les sociĂ©tĂ©s collectives comme la Sacem en France, la Sabam en Belgique ou la Suisa en Suisse par exemple, ne gĂšrent pas le rĂ©pertoire qui est proposĂ© sur le site. Ceci permet d’ĂȘtre exonĂ©rĂ© des frais Sacem. PIERRE – Oui mais il faut bien payer le service tout de mĂȘme ! Et puis les compositeurs. MARIE – Tu as raison Pierre, et c’est pour cela que le site reverse 50 % du prix de ton abonnement aux ayants droits que sont les compositeurs, producteurs et interprĂštes. Par contre c’est vrai que tu n’auras pas toutes les musiques connues ou les derniers tubes Ă  la mode. Mais les playlists sont trĂšs sympas et pour un fond sonore c’est vraiment bien. PIERRE – Combien ça coĂ»te et comment ça marche ta solution de radio sans Sacem ? Marie – Tu paies pour un an sans reconduction automatique et au tarif de 2,99 € HT par mois pour un petit restaurant. Tu peux diffuser 10 playlists de musique actualisĂ©es en partie tous les mois. Il te faut un ordinateur reliĂ© Ă  internet ou bien si tu as un trĂšs bon Wifi ça marche aussi avec une tablette ou un smartphone. PIERRE – Ah oui d’accord et je vais avoir plein de pubs comme quand je mettais la radio. C’est pas top quand mĂȘme
 MARIE – Non, non, c’est garantie sans publicitĂ© je t’assure. Par contre tu pourras diffuser tes propres messages comme un vrai radio d’enseigne et les programmer dans la journĂ©e. Cela passe par l’achat d’un lecteur de diffusion avec logiciel de programmation horaire intĂ©grĂ©. Ce lecteur de diffusion Ă©vite Ă©galement de se connecter et garantie une diffusion sans coupure mĂȘme si ton rĂ©seau internet tombe en panne. PIERRE – Tu m’a l’air vraiment bien renseignĂ©e, je suis impressionnĂ©. Et qui va devoir enregistrer les messages lorsque je dois annoncer les Happy Hours, promouvoir mon menu spĂ©cial fĂȘtes et les apĂ©ro-concerts du jeudi ? MARIE – Ne t’inquiĂšte pas ils s’occupent de tout. Ton annonce sera enregistrĂ©e en studio par des pros et tu pourras la programmer 99 ans en avance ! PIERRE – GĂ©nial mais tu sais d’ici lĂ  j’aurais peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  vendu mon resto. Mais bon qui peut le plus peut le moins. Bon c’est d’accord je vais y rĂ©flĂ©chir. Cela me permettrait d’investir dans du bon matĂ©riel de diffusion. MARIE – Oui tout Ă  fait. En plus WebRadioStore te proposera un audit gratuit si tu souhaites acheter un nouvel amplificateur ou des enceintes. Pour 300 € ou 400 € tu auras dĂ©jĂ  du trĂšs bon matĂ©riel professionnel. PIERRE – Ah alors je vais pouvoir faire des soirĂ©es dansantes les mercredis soir. Je pourrais mettre la musique super fort pour attirer un peu de monde. MARIE – Je vois que tu as plein de projets mais attention quand mĂȘme au volume sonore. Il y a des normes et je pense que tu les connais. Profites-en surtout pour revoir l’acoustique de ta salle. Je trouve que cela rĂ©sonne un peu trop et on a du mal Ă  se comprendre dĂšs qu’il y a un peu trop de monde. Ce n’est pas trĂšs agrĂ©able et je suis presque fatiguĂ©e en sortant du restaurant. PIERRE – Sur ce point je crois que tu as raison. J’ai travaillĂ© la dĂ©coration et l’éclairage mais je crois que les salles sont un peu trop sonore ». Je pense que mes surfaces sont trop rĂ©verbĂ©rantes. Mais bon je ne vais quand mĂȘme pas mettre de la moquette. MARIE – Oui la moquette c’est d’un entretien fastidieux dans une salle de restaurant. Par contre tu peux mettre des panneaux acoustiques. C’est trĂšs tendance aujourd’hui et trĂšs dĂ©coratif avec des photos personnalisĂ©es. On dirait que ça fait vraiment partie du dĂ©cor. Tu verras, mĂȘme si tes clients ne se rendent pas toujours consciemment compte de la diffĂ©rence, ils se sentirons mieux et reviendront surement quand ils le pourront. PIERRE – Ok j’ai compris. La musique et l’acoustique c’est vraiment essentiel. AprĂšs le service de midi j’irais voir ce que propose WebRadioStore. Il faut juste que je trouve un peu de temps. MARIE – Oui et n’oublie pas que la musique fait vendre. Il y a un programme de ballade Pop appelĂ© Cool Radio et c’est vraiment bien. Savais-tu qu’une musique lente et douce incite les clients Ă  rester un peu plus longtemps dans les espaces. Tu verras tes clients auront mĂȘme envie de prendre un petit cafĂ© ou un dĂ©sert. PIERRE – Oui mais pour moi le problĂšme est que j’ai presque trop de monde Ă  certaines heures. Il m’arrive mĂȘme Ă  refuser des clients car je n’ai plus de tables disponibles. MARIE – Et bien Ă  ce moment tu mets Move Radio. Les musiques sont plus rapides et dynamiques. Tu verras que tes clients consomment un peu plus vite et libĂšrent les tables plus rapidement. PIERRE – Oui alors c’est trĂšs scientifique tout ça ! Mais c’est vrai que j’ai lu des Ă©tudes sĂ©rieuses qui indiquaient que la musique avait bien une influence sur le comportement, donc pourquoi pas sur mes clients. MARIE – D’ailleurs Ă  ce propos
 PIERRE – Tu m’avais demandĂ© de t’accorder 5 minutes pour me dire qu’il y avait un moyen de ne pas payer la SACEM et je crois que nous avons dĂ©passĂ© le temps imparti. D’ailleurs j’ai encore beaucoup de travail, il n’y a pas que la musique pour faire tourner mon commerce tu sais. MARIE – Oui pardon je te laisse retourner Ă  tes tĂąches quotidiennes et n’oublie pas de tester la solution, c’est gratuit sur 3 jours sur simple demande. PIERRE – TrĂšs bien je te fais signe et je t’invite dans mon tout nouveau restaurant qui sera certainement incontournables grĂące Ă  tes conseils. Bon faut vraiment que j’y aille maintenant
. MARIE – Bon courage Pierre et Ă  bientĂŽt. N’oublie pas, il faut faire des poses. C’est indispensable pour avancer ! et je pense que tu connais les Ă©tapes pour devenir un bon franchisé  Merci de partager cet article si vous l’avez aimĂ©. Je vous invite aussi Ă  vous abonner Ă  ma chaĂźne YouTube pour dĂ©couvrir toutes mes conseils dans le domaine de l’entrepreneuriat. Comme toujours si vous avez des questions, des commentaires ou des suggestions de thĂšmes pour les prochains articles laissez ci-dessous et j’y rĂ©pondrai personnellement. Je vous dis Ă  trĂšs bientĂŽt. Alexis Berger
\n \ncomment faire pour ne pas payer la sacem
Ouivous n'avez aucune déclaration à faire à la SACEM puisque les musiques ne sont pas enregistrées à la SACEM justement. Il n'y a pas de justificatifs, l'autorisation d'utiliser les musiques est implicite et précisé dans un des contrats Creative Commons appliqué à chaque musique.

Par Le jeudi 20 juillet 2006 Ă  1538La SACEM vient de nous contacter suite Ă  l’affaire de l’école de Peillac afin de dissiper toute incomprĂ©hension ou tout malentendu ». Pour mĂ©moire, l'Ă©cole de Peillac Morbihan avait annoncĂ© une manifestation entre parents d’élĂšves, enseignants et enfants qui n’avait pas Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e Ă  la SACEM. Ayant appris dans la presse qu’un bout de Adieu Monsieur le professeur » avait Ă©tĂ© entonnĂ© par les enfants devant trois des maĂźtresses sur le dĂ©part, la Sacem exigea de l’Ecole le paiement de 75 euros de droits. Depuis, l’affaire de cette mĂ©lodie interdite a fait grand bruit
L’organisme prĂ©vient d’abord que le montant des droits Ă©valuĂ© et proposĂ© Ă  l'Ă©cole de Peillac Morbihan correspondait au tarif applicable pour l'utilisation de l'ensemble des Ɠuvres utilisĂ©es Ă  l'occasion de l'organisation de spectacles scolaires de fin d'annĂ©e avec danses, chansons, carnaval
 et en aucun cas pour la reprise d'une seule chanson ».Cela dit, les organisateurs de tels Ă©vĂšnements doivent faire une dĂ©claration au prĂ©alable dans les dĂ©lĂ©gations rĂ©gionales. Elles profitent alors automatiquement d’un tarif prĂ©sentĂ© dit prĂ©fĂ©rentiel au titre des Petites manifestations musicales. Cette dĂ©claration peut ĂȘtre faite en ligne. Les Ă©tablissements scolaires, ayant dĂ©jĂ  effectuĂ© une dĂ©claration, reçoivent chaque annĂ©e les informations nĂ©cessaires Ă  l'organisation de leurs Ă©vĂ©nements. » Le tarif journalier est alors de 60,5 euros comme l’indique cette Miyet, prĂ©sident du Directoire de la Sacem, prĂ©cise Si nous avons pour politique constante de dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de nos auteurs qui n'ont pour seule rĂ©munĂ©ration que leurs droits d'auteur - sans la moindre assurance chĂŽmage contrairement aux artistes-interprĂštes - nous le faisons en fonction de critĂšres impartiaux, en tenant toujours compte des situations rĂ©elles et en consentant Ă  des efforts ou conditions particuliĂšres eu Ă©gard au contexte de chaque manifestation.»La SACEM indique encore qu'elle va tenter de trouver rapidement la solution la mieux adaptĂ©e Ă  ce dossier et la plus Ă©quitable ». Le Directeur rĂ©gional de la SACEM a d'ores et dĂ©jĂ  pris contact avec la Directrice de l'Ă©cole afin d'obtenir toute information et prĂ©cision voulues. Une rencontre est d'ores et dĂ©jĂ  prĂ©vue au retour de cette derniĂšre, fin aoĂ»t. Il importe de rappeler que pour 4 Français sur 5 la musique est l'art indispensable, celui dont ils ne sauraient se passer. La musique joue aussi un rĂŽle primordial dans l'organisation de dizaine de milliers d'Ă©vĂ©nements. Cette musique est le fruit du travail d'auteurs et compositeurs. Les droits d'auteur constituent leur unique revenu. Il est donc lĂ©gitime que les crĂ©ateurs soient rĂ©munĂ©rĂ©s pour l'utilisation de leurs Ɠuvres, ce Ă  quoi la Sacem s'engage chaque jour en leur nom. »Un rendez-vous bien vain puisqu'on apprend au JT de 13h de TF1, qu'Hugues Aufray, l'auteur de la chanson, a dĂ©cidĂ© de payer lui-mĂȘme l'amende.

ARJRm.
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